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Commentaire de morice

sur De Victor Jara à Guantanamo : la même CIA (55) : le club de Liverpool et l'avion de la CIA


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morice morice 26 octobre 2010 09:45

, et un syndicat policier réclame des poursuites ,

dirigé par un drôle de mec .... Mohamed Douhane : http://www.metrofrance.com/infos/mohamed-douhane-il-faut-davantage-de-diversitemohamed-douhane-il-faut-davantage-de-diversite/piem !d13Kwhg6mhajcBXwh1kP@Q/

les tabous
http://lci.tf1.fr/france/societe/2009-05/un-flic-s-en-prend-aux-tabous-de-la-police-4887947.html

qui a écrit « Une »culture de l’excuse liée au passé colonialiste de la France qui ne cesse de causer des dégâts« . »

et qui devient devin :
« une série de mesures pour maîtriser cette spirale qui pourrait, sinon, »conduire rapidement à de nouvelles violences comme celles qu’a connues le pays à l’automne 2005« . »

ah, je sens qu’on va nous en refabriquer une avant 2012...

http://yahoo.bondyblog.fr/news/200905280002/le-programme-choc-d-un-flic-pour-lutter-contre-l-insecurite

sarkozyste à mort, et admirateur de drôles de bonhommes :
Non, ajoute Mohamed Douhane, la pauvreté des « quartiers » n’est pas une « excuse » à cette violence et à toutes sortes de marchés illicites. L’auteur plaide pour plus de sécurité dans les banlieues ghettoïsées, la sécurité étant, écrit-il comme le clamait Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle de 2007, le droit premier garantissant la liberté des citoyens. Son message à ceux qui le critiqueront : ne vous trompez pas d’ennemis !

le mieux chez lui c’est son admiration :

L’auteur développe une vision éradicatrice de la délinquance à l’œuvre dans certaines cités. Il prône à demi-mots un traitement de choc, à l’américaine, de la violence et des incivilités dans les rues comme dans les écoles, et cite l’exemple de New-York, où l’action de son ancien maire Rudolph Giuliani « a permis en moins de dix ans à cette ville de plus de 8 millions d’habitants de devenir l’une des grandes métropoles les plus sûres au monde ». S’il semble admiratif des méthodes de l’Oncle Sam en matière de police, Mohamed Douhane sait qu’il ne pleut plaquer tel quel le modèle US à la France, où le fait que des civils puissent coopérer avec les forces de l’ordre s’apparente à de la délation.

Giuliani a utilisé comme responsable Bernard Kerick (Bernard Bailey « Bernie » Kerik),ancien délinquant devenu responsable de police qui a deux hauts faits d’armes :

1) c’est lui qui est allé entraîner les policiers irakiens  : on voit ce que ça a donné dans les prisons : lors des arrestations, les irakiens étaient systématiquement TORTURES dans les commissariats. Kerik a été payé des millions de dollars pour ça. Avec sa propre société privée..
dans son titre, il s’occupait bien des prisons :
« Kerik resigned from these positions in December, 2004. In March 2005 he created The Kerik Group LLC, where he served as Chairman until June 2009, consulting in Crisis Management and Risk Mitigation, Counter-Terrorism and Law Enforcement andJail/Prison Management strategies. »

devenu responsable du Homeland Security :
On December 3, 2004, Kerik was nominated by President Bush to succeed Tom Ridge as United States Secretary of Homeland Security.

Là, il s’est fait coincer sur l’utilisation chez lui d’une nounou sans papiers, unCOMBLE à ce poste !
But on December 10, after a week of press scrutiny, Kerik withdrew acceptance of the nomination. Kerik stated that he had unknowingly hired an undocumented worker as a nanny and housekeeper who had used someone else’s social security number. Similar violations of immigration law had previously caused the withdrawal of the nominations ofLinda Chavez as Secretary of Labor by George W. Bush and of Zoë Baird and Kimba Wood as Attorney General by President Bill Clinton.

il a du payer 188 000 dollars à l’état.

2) il est aujourd’hui au fond d’une prison pour 4 ans depuis le 18 février 2010 pour détournements de fonds d’état.

au fond de cette prison, où il a le numéro 210717, il a recommencé : cet été il a essayé de feinter les réglements :
In the summer of 2010, Kerik was reportedly held at a medium-security federal prison in Cumberland, MD. At the time, he was also reported to have tweeted his negative opinion of the proposed Park51 project, though as a prisoner he was forbidden access to the Internet, Twitter included, a prison spokesperson said.[49]

et c’EST CET EXEMPLE DE GESTION DE VILLE ET DE PAYS QU’ILS OSE PRENDRE EN EXEMPLE, le Sarkozyste Douhane ???? le gars qui torture ses prisonniers ? Mais on va où là ?

en prime il se GOURRE sur son « analyse »

Responsabilité dans la baisse de la criminalité [modifier]
La baisse très importante de la criminalité dans la ville de New York n’est pas due uniquement à l’application de la politique de « tolérance zéro ». Durant les années 1990, nombre d’autres grandes villes aux États-Unis ont connu des baisses importantes, pour certaines comparables à New York. On peut citer notamment Boston, Houston, San Diego ou encore Dallas. Pourtant, ces villes n’ont pas pratiqué la tolérance zéro, certaines d’entre elles ont même pratiqué une politique inverse (réduction des effectifs policiers, dialogue avec les citoyens, etc.). Le cas du Canada est aussi intéressant, le comportement du policier et du criminel est différent et pourtant la criminalité a baissé aussi durant cette période.
Il est également à noter que la criminalité avait déjà commencé à baisser à New York dans les années 1991 et 1992, soit avant la mise en place de la politique de la tolérance zéro. Dans leur ouvrage Freakonomics — A Rogue Economist Explores The Hidden Side of Everything, Steven Levitt et Stephen Dubner corrèlent cette baisse avec l’arrivée à maturité des enfants nés avec la légalisation de l’avortement ; ils expliquent cette corrélation par le fait que lorsqu’un enfant n’est pas désiré, il a plus de risque de basculer dans la criminalité. Selon eux, la baisse de la criminalité est donc « mécanique ».
En prenant en compte tous ces facteurs, la tolérance zéro n’a pas été la méthode miracle présentée durant de nombreuses années. Peut-être a-t-elle participé à la baisse de la criminalité, mais elle n’en a pas été la cause principale. Durant les années 1990 le taux de chômage a baissé, le niveau de vie a augmenté du fait de l’importante croissance économique des États-Unis, et l’« épidémie » de crack, important facteur criminogène, fut quasiment annihilée. Ces facteurs ont très certainement participé bien plus à la baisse de la criminalité que la pratique de la tolérance zéro[réf. nécessaire]. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Tolérance_zéro)

comme en France, elle nuit :
Effets pervers [modifier]
De nombreuses personnes critiquent cette politique de tolérance zéro car elle entraîne plusieurs effets pervers :
Le premier et le plus visible est l’augmentation des plaintes contre les policiers, qui est de 41 % pour New York. La cause est que les policiers sont pressés par leur hiérarchie de « faire du chiffre ». Cette pression engendre une attitude agressive des policiers lorsqu’ils s’adressent aux personnes qu’ils contrôlent. Leur agressivité peut entraîner une réaction hostile des personnes contrôlées et une réplique de la part de la police. L’inverse est également valable, à la moindre agressivité de la part des personnes contrôlées, les policiers répliquent de manière disproportionnée, alors que la meilleure méthode est plutôt de chercher à calmer la personne agressive.
Le second est que, paradoxalement, les membres des minorités ethniques voient la police comme des fauteurs de troubles et ont peur lorsqu’ils se font contrôler par les forces de l’ordre (selon un sondage réalisé en août 2000 à New York, 61 % de l’ensemble des sondés estimaient que la police faisait un bon travail, mais 42 % des noirs et 36 % des hispaniques disaient avoir peur lorsqu’ils étaient abordés par un policier). Cette peur vis-à-vis des policiers vient du fait que ces derniers les considèrent a priori comme des délinquants, leur réaction est donc hostile, que la personne soit coupable ou non.
Le troisième est que la police considère toute personne, et principalement les groupes considérés comme à risques (voir plus haut), comme des délinquants ou des criminels en puissance. La présomption d’innocence risque ainsi de disparaitre. Des personnes qui n’ont strictement rien à se reprocher peuvent avoir maille à partir avec la police.

autre effet : celui de « on ne les voit plus en ville »
De plus, certains groupes humains considérés par les autorités comme délinquants se déplacent en raison de la pression policière qui est exercée contre eux. Ainsi par exemple, les toxicomanes, les Sans Domicile Fixe et les prostituées sont rejetés vers la banlieue ou dans des zone urbaines périphériques, pour fuir une forme de répression systématique. La délinquance et la violence qui les accompagnent ne disparaîssent pas pour autant : elles sont simplement déplacées et diminuent ainsi dans les statistiques des centres urbains.

BREF IL TOUT FAUT, comme son IDOLE.
pour comprendre, faut lire la presse belge :
http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/294962/cinq-ans-apres-les-emeutes-les-plaies-peinent-a-cicatriser-en-banlieue.html
La prochaine fois, « si (les habitants) manifestent leur colère, ils ne le feront pas en brûlant leur voiture », estime l’élu qui redoute un « repli identitaire ostentatoire ».

qui fabrique le repli identitaire ? des gars comme Douhane..
«  »Il y a toujours autant de provocation de la part des flics« , dénonce Fariz, 21 ans, proche de Zyed et Bouna.
Aujourd’hui assistant d’éducation dans un collège, l’étudiant a raconté à l’AFP une arrestation récente sur la Nationale 3 : »devant tout le monde, gratuitement, ils m’ont fouillé, fouillé ma voiture, puis m’ont laissé partir sans me demander mes papiers« . »


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