en conclusion
Journalistes, entrez en résistance, quel que soit le malfrat (que l’on retrouvera moins vite qu’un voleur de scooter à Neuilly), on (qui cela peut-il être ?) vous en veut : agression de journalistes par des éléments des forces de l’ordre, vols, écoutes sauvages peut-être ?
utilisez des bureaux virtuels avec les données stockées cryptées dans d’autres pays, dupliquez à mort toutes vos données, appelez aussi souvent que possible vos (plus ou moins) amis députés ou sénateurs de la majorité (à quand les fadettes de ceux-ci ?), marquez discrètement vos informations en informatique pour les reconnaître si elles réapparaissent
suivez les conseils de Jean-Paul Manach :
http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2010/10/27/journalistes-protegez-vos-sources/
si vous ne le faites pas, vos sources se tairont ou s’adresseront à Internet
nous avons besoin de vous, en état de marche
à Halman : j’ai plusieurs disques durs externes pour mes sécurités, tous ne sont pas visibles immédiatement, un exemplaire est souvent hors de portée immédiate ; je pense que les journalistes parlent plutôt d’un NAS, c’est à dire d’un disque auquel peuvent accéder plusieurs ordinateurs dans l’enceinte du journal, cela signifierait qu’une partie plus ou moins importante de leurs documents/données sont connues, sans préjuger de la possibilité de reconstituer un nouveau disque
finalement, un Halman peut travailler comme il le dit, une équipe de journalistes ne le peut pas