Le Trésor d’un Etat est sa banque intérieure. La Banque Centrale est sa banque extérieure. Les deux appartiennent au même Etat, même si certaines banques centrales comme la FED on un statut privé. Mais c’est alors une simple fiction juridique. Le patron est bel et bien l’Etat.
Faux.
Depuis 1973, les Banques centrales sont privées ; la preuve en est que les états ne peuvent leur emprunter directement, mais doivent passer par les banques privées, avec intérêts (d’où les dettes des états). .
La création monétaire est entièrement du ressort des banques privées qui, par le biais des crédits, peuvent disposer de plus de 9 fois l’argent réellement en dépôt.
En tant que spécialiste de la finance, vous devez être au courant, non ?
De plus, quand vous faites vos pseudo-calculs, vous oubliez ; oh, presque rien ; un petit détail sans importance ; les INTÉRÊTS que les banques font payer à ceux à qui elles prêtent ; particuliers, entreprises, états... Intérêts qu’elles incluent dans leur argent disponible, créant, de nouveau, de l’argent ex-nihilo.
Bref, votre raisonnement oublie des éléments, et de taille, et trompe sur la marchandise.
La création monétaire est, depuis les accords de la Jamaique, en 1976, du ressort du PRIVE ; banques centrales privées, banques privées, organismes financiers, assurances ; et tout le problème de la monnaie, de la crise économique, financière, de l’endettement des états, de la crise provoquée par les jeux spéculatifs des banques privées que l’on renfloue avec l’argent que les états devront rembourser, et que l’on fait payer aux citoyens, en démantelant leurs systèmes sociaux, leurs retraites, leurs salaires, etc...
viennent de là, et seulement de là.
Seule l’indispensable réforme monétaire pourra changer les règles du jeu, en redonnant aux banques centrales, réellement sous le contrôle des états, le pouvoir de création monétaire, en le supprimant aux banques privées, et en permettant aux états d’être provisionnés directement par leurs banques centrales, SANS INTÉRÊT.
Tout le reste, c’est de l’enfumage pour permettre aux mafias de banksters de vider les états de leur substance, de tout pouvoir, pour pouvoir continuer à mettre la planète en coupe réglée, par le biais de la mondialisation.