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Commentaire de ZenZoe

sur Affaire Florent Pagny : dérapages en meute !


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ZenZoe ZenZoe 10 novembre 2010 11:57

Jamais aimé Florent Pagny, sa suffisance, son côté « je-suis-trop-cool-et-je-vous-emm... », ses fraudes fiscales par derrière en exhortant les téléspectateurs à faire des dons par devant avec ses potes enfoirés (ou autre, je ne sais plus, je ne regarde pas les concerts).
Il a les moyens de payer des études aux States à ses mômes, grand bien lui fasse. A Miami, au soleil et entourés d’autres millionnaires, encore mieux ! Même sans parler arabe, lesdits mômes seront bilingues quand même et ce sera un boost pour leur future carrière dont on se fiche royalement.
Et aussi : je crois savoir que notre dérapeur médiatique vient de Dijon. Pour connaître cette ville, je sais que ses établissements scolaires ont peu en commun avec certains collèges de St-Denis, et que beaucoup d’enfants y poussent sans traumatisme, dans une bulle relativement cossue même pour certains, comme dans de très nombreuses autres villes d’ailleurs. La France n’est pas un gigantesque 9-3, et les propos de M. Pagny sont ceux d’un imbécile prétentieux et snob.

Maintenant que j’ai craché mon venin, je suis plus calme et tiens à ajouter ceci :

Florent Pagny a le droit de dire ce qu’il veut, quand il veut et où il veut.
Je voudrais augmenter la taille des lettres pour l’écrire, mais je ne trouve pas le bouton. Il a le droit de dire ce qu’il veut dans ses chiottes, à la télé, partout. S’il n’aime pas les Arabes, et même si je pense que c’est un trou-du-cul pour le dire, il peut le dire. S’il est raciste, il peut le dire (au moins, on saura à qui on a affaire). 
De quel droit certains (pas plus beaux ni plus avisés que les autres), juste parce qu’ils ont réussi à se faire un place dans les medias, s’arrogent-ils le droit de nous dicter ce qu’on devrait dire ou penser ? Marre du terrorisme intellectuel, de cette nouvelle forme de censure appelée le politiquement correct.

Messieurs-Mesdames des médias, je vous le dis : vous nous gonflez. On est en république, et on dit ce qu’on veut. Na !

Ah, et autre chose : on est en république, et personne n’est obligé d’écouter les divagations de chacun et d’y prêter une attention qu’elles ne méritent pas. (Pagny a dit ça ? Ah bon, tiens je reprendrais bien un petit verre, et si quelqu’un peut me passer les zolives ?)


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