Barre_de_rire,
Bien missié, tout de suite missié, pardonnez-moi missié et vous avez raison j’aurais du condamner d’abord et ne chercher à recouper l’information que plus tard (après tout quel importance s’il s’agit d’un faux), donc je vous l’accorde volontiers les noms d’oiseaux à l’adresse de ma personne sont un minimum.
Par contre j’ai beau fouiller le grenier de ma mémoire quelque part entre les versets que vous chérissez tant et mon obligation de condamner les inquisiteurs, je ne vois nulle part que je vous aurais autorisé à me tutoyer… Alors ne le faites plus… Si toutefois il vous reste un minimum de fierté.
Dans le livre avec lequel vous dites vous torcher, je ne trouve rien qui parle de blasphème… Ou plutôt si, un passage qui m’interdit formellement sous peine de désobéir à Dieu et donc de renier en bloc toute ma foi, d’insulter une idole … en bois, en bronze ou même en chocolat. Pourquoi diable me diriez-vous ? Ben simplement pour éviter qu’en retour l’idolâtre n’insulte Dieu … sans savoir… Oui mais quand bien même, il le ferait ne me dites pas qu’il causerait du tort à Dieu ?... Euh... Mais c’est vrai ça alors...
Dans les deuxièmes textes qui m’obligent… Kif kifl… rien de chez nibe, walou le que-dallien.
Avec votre esprit de déduction sans nul autre pareil, vous aurez compris par vous-même et sans l’aide de Cathy (chapeau), que le délit de blasphème ne vient pas des textes fondateurs de l’Islam et n’engage donc la responsabilité de Bibi en rien.
Cela étant précisé, vous semblez tenir (un euphémisme), à ce que je m’exprime quand même sur le sujet comme si mon avis devait avoir une quelconque importanhce. Alors oui si les faits étaient avérés (pas la torture ni la torture des enfants je ne suis pas si con que ça non), je parle évidemment de la condamnation pour un supposé délit de blasphème, alors non seulement ce serait stupide mais en plus, le Pakistan allié fidèle de l’occident (est-il besoin de la rappeler), ne devrait à mon avis pas trop faire le difficile, si des avocats étaient délégués de chez vous pour obtenir une révision du procès par exemple, ou si plus simplement une nette action diplomatique en coulisses mettait fin à ce non-sens.
Puis une fois les passions retombées et l’huile sur le feu des ségurane de tous poils redevenue sans effet, vous devriez (plutôt que de vous agiter dans tous les sens), discuter une bonne fois pour toutes avec votre allié et l’amener à amender sa législation en la matière.
Je vous souhaite dans ce cas bien du courage, parce qu’aux dernières nouvelles c’était tout-à-fait autre chose qu’attendaient vos gouvernants du dit pouvoir et que dans la liste de leur priorités, il y a tout, sauf l’humain.
Satisfied dear ?