@ Saint Just (du 13 à 20 h 39)

Vous dites du Talmud : "S’il y a un livre où la haine des chrétiens est une obsession, c’est celui-là".

Vous pourriez préciser de quelle édition du Talmud vous tirez ça et donner quelques citations ? Parce que, dans le Talmud que j’ai lu je n’ai pas trouvé cette haine.

@ Cité et Culture (du 13 à 19 h 02)

« Ah bon ??? » ne constitue pas une réponse.

Vous seriez plus crédibles et plus utiles aux victimes de l’islam si vous réfléchissiez à la continuité de la conception violente de Dieu dans les trois plus grands monothéismes : le judaïsme, le christianisme et l’islam. Les Evangiles ne contiennent aucun appel à pratiquer la violence. Jésus a donné sa vie en appelant tous les humains à l’amour et à la paix.

Mais le christianisme n’est pas le « jésuïsme » et, en se constituant durant les siècles qui ont suivi la mort de Jésus, il a relancé la croyance dans la volonté de violence de Dieu.

Le pire, pour les catholiques du 21e siècle, c’est que le cardinal Ratzinger, futur pape Benoît XVI et responsable de la rédaction du nouveau catéchisme y a re-confirmé la validité de cette épouvantable croyance. Il y a fait inscrire en toutes lettres que Dieu est l’auteur de l’Ancien Testament et que son contenu exprimait son véritable désir « et cela seulement » (106).

Tous les appels à massacrer des peuples, dont celui qui constitue ce qu’on nommerait aujourd’hui un génocide, le massacre des cananéens, sont donc très officiellement, pour l’église actuelle, des appels de Dieu.

Certes, c’est un pape théologien au dogmatisme fou qui a réanimé ainsi la croyance criminogène vieille de 3000 ans. Mais en acceptant sans broncher cette horreur les chrétiens se rendent indirectement complices de la criminalité que les islamistes continuent de pratiquer au nom de Dieu.

C’est bien la violence effective de l’islam qu’il faut dénoncer en priorité aujourd’hui puisque c’est l’islam qui continue de la commander. Mais on ne pourra faire durablement disparaître la violence du monde religieux qu’en exigeant le rejet de sa base théologique dans TOUTES les religions.