@JL
Effectivement… mais il n’y a pas que le marché du travail qui est perverti, toute l’économie est pervertie !
Le marché, la notion de marché, où se confrontent normalement es offres et des demandes diverses et variées ; cette notion implique une certaine diversité et non une marchandise unique !
Si je vais sur un v rai marché de marchandises, c’est à dire non spécialisé… non spécieux, je n’ai, en fonction de mes besoins, que l’embarrât du choix et je conclue où je veux…voire où je peux… car économiquement… ; dans le cas du marché du travail ou de l’emploi, termes plus adéquat, celui-ci est la seule marchandise, et, qui plus est une marchandise raréfiée, savamment et délibérément raréfiée, même en pénurie, pour que les offreur soit les seuls satisfaits : qu’ils fassent baisser les coûts !
Le problème, en économie (étymologiquement : logique d’ensemble), est que les coûts des produits et donc leur prix et les « revenus » du travail, sont intimement liés ; en effet, car si les coûts font les prix… il se trouve qu’en même temps, ils font également les revenus !
L’économie n’est pas une affaire de dichotomie, d’opposition, de compétition, de compétitivité imbécile, de simplification simpliste ; c’est une affaire de complexité, de complémentarité : d’équilibre entre les différents éléments de l’économie !
Le demandeur d’emploi paye cher le prix d’un emploi de plus en plus rare et voulu comme tel ; il le paye par la petite mort, celle sociétale : économique et sociale !