Ah ouai, Quirant, celui qui n’a répondu qu’à un argument sur 2 sur le plateau de Durand... On peut revoir sa magnifique prestation et apprécier tout particulièrement son vocabulaire hautement scientifique à 7min50 dans la video ci-dessous : « L’effondrement en lui-même, excusez-moi mais c’est un gros bordel » explique notre scientifique de plateau TV. On sent bien ici sa parfaite maîtrise du sujet :
Ce Quirant a été sélectionné pour donner une impression d’expertise aux mensonges assénés aux téléspectateurs sur le 11 septmbre. Tout comme son collègue auto-promu représentant des familles de victimes (JC Brisard) qui ne mentionne notamment pas l’association de famille demandant une nouvelle enquête (récemment dans la campagne « Building What ? »). Ces gens sont des menteurs avérés. Il n’y a plus grand monde pour être dupe de ces experts de pacotille excepté peut-être les gens qui ne s’informent que via la TV (les pauvres).
Ce gars n’est capable que de réciter quelques formules d’un bouquin pour impressionner le téléspectateur lambda. Ses capacités analytiques sont nulles et il se borne à une étude partielle en évitant les points critiques de ses théories pour lesquels il n’a aucune explication. Il base notamment ses analyses de la chute du wtc7 sur une simulation du NIST en image de synthèse. Vous savez, les images de synthèse représentant ce qu’on veut selon qu’on entre tels ou tels paramètres. Ce bon vieux Quirant à qui on n’a jamais opposé un autre « scientifique » sur un plateau de TV. Ses arguments scientifiques seraient-ils minces (voire totalement faux) ? Ce scientifique de haut vol qui explique que la critique de la VO fait rire devant la machine à café de son IUT mais qui ne s’est jamais frotté à personne devant les cameras...
Moi, ce type là, on me donne 15 minutes sur un plateau et je prouve par A + B qu’il raconte ce qui l’arrange et que ses théories s’appuient sur du vent. Il est très facile pour quelqu’un qui maîtrise le dossier de prouver que ce type sert une propagande dans laquelle il y a de grosses lacunes. C’est quant il veut. Mais aujourd’hui ce n’est même plus la peine, j’ai comme l’impression qu’on va bientôt plus jamais entendre parler de lui...