« Peu importe que des explosifs aient pu être endommagés au point de crash. Il suffit de déclencher ceux juste au-dessus. » : Impossible. Soumis à un choc violent et/ou à un incendie, les explosifs détonnent même sans détonateur. Comment expliquer dès lors leur « conservation miracle » jusqu’au « bon moment » ?
« Des gens ont traversé cette zone descendant du 84e étage par un escalier de secours sans signaler d’incendie important. » : Tu ne sais pas que les escaliers des immeubles sont enchassés dans une cage ?
« Il est hors de question que le revetement ait pu être arraché en dehors des poutres directement exposées du coté du crash. » : Bien sûr... L’onde de choc qui a traversé visiblement tout l’immeuble s’est « miraculeusement arrêté » au niveau du coeur sans le pénétrer, comme le nuage de Tchernobyl...
" En cas de rupture, les morceaux auraient du tomber de coté, en
rencontrant la résistance du coeur en acier forcément intact au-dessous
du point de crash.« : Bah non.
Déjà il n’y avait aucune force latérale de poussée. En l’absence de toute force contraire, c’est la gravité qui s’exerce. Donc ça descend tout droit.
De plus, le coeur de la tour ne représentait que moins d’un quart de la superficie totale de chaque étage. Pourquoi imaginer que les étages inférieurs étaient solides comme le coeur sur toute sa surface ?
» La tour n’était pas en feu, il y avait seulement des incendies
virulents, mais en voie d’extinction ou d’affaiblissement et localisés." : Eh non. Le feu se répand mais evidemment, une fois qu’il a tout brûlé sur une zone, il s’y éteint s’il vient à y manquer de combustible. Mais les dégats demeurent, notamment ceux portant sur la structure et la portance des charges...