Au passage, je tiens à préciser que je ne partage pas non plus la totalité du point de vue très critique de l’auteur, mais les insulte envers ma génération et l’absence de désir de dialogue me font monter très rapidement la bave aux lèvres.
Je m’excuse pour les personnes de bonne fois que mes propos (visant à exposer certains idiots, obtus et abrutis par le journal de 20 heures) auraient pu blesser.
Par contre pour les hypocrites qui se sont laissé allé à stigmatiser ma génération, je pense que les termes que je leur ai adressé étaient tout à fait mérité et je leur adresse mon mépris en prime.
Chaque génération se caractérise par une proportion équivalente en boulets, poids-morts et autres incompétents... Sans parler des crapules...
Le problème auquel nous faisons face tient probablement moins à un conflit générationnel, qu’à l’inertie qui s’est emparé de nos institutions en conséquence de l’exclusion progressive et insidieuses de ses éléments les plus jeunes qui sont à la fois source de changement et garant d’une maitrise du niveau de corruption (l’exercice du pouvoir finissant de toute façon tôt ou tard par corrompre).
Les intérêt partisans et de clans se sont substitués ) l’intérêt général au sein des sphères de décision.
La différence entre la génération de nos parents et la notre tient essentiellement au fait que nous pouvons plus facilement exposer et garder en mémoire les dérives de nos dirigeants.
Avantage que nous devons essentiellement aux NTIC qui exposent en pleine lumière et de manière plus durable les dérive d’un système totalement sclérosé.