On peut être climato-sceptique et opter pour le développement durable, les deux ne sont pas incompatibles.
La déforestation ne concerne que certains espaces ( la zone intertropicale principalement) alors que d’autres, au contraire se reboisent ( la zone tempérée). Savez-vous qu’il y a beaucoup plus d’arbres aujourd’hui en Europe qu’au XIXème siècle. De plus, un arbre produit autant de gaz carbonique que d’oxygène, il intervient peu dans l’effet de serre.
Les embouteillages ne « cracheront » jamais autant que le volcanisme. Je ne nie pas l’action des hommes sur le milieu, elle est évidente. Il faut simplement la relativiser, la quantifier correctement et ne pas verser dans l’apocalyptique.
« Canicule historique », les observations météorologiques régulières remontent aux années 1850..., on a constaté d’énormes biais liés aux conditions et lieux de mesures qui invalident des quantités de séries statistiques. La variabilité est une des donnée majeure du climat, vous baser sur les excés n’a pas de sens.
Il ne suffit pas de se moquer des sceptiques pour avoir raison en se basant sur de pseudo évidences. Allègre est exaspérant certes, mais il existe des quantités de scientifiques qui eux aussi doutent.