À paul
La seule chose qui m’a motivé pour écrire cet article récapitulatif
visuel de rappel des dérives passées était de faire prendre conscience vers quel
objectif d’endettement nous allons si nous ne prenons pas garde.
Comme de toute façon, et comme a chaque élection de
nouvelles promesses chasseront les précédentes, tous ces personnages politiques
de droite ou de gauche, d’extrême droite et d’extrême gauche, nous gaveront de
nouvelles assurances qui ne seront pas suivit des faits.
En France, nous avons la mémoire courte et comme dit l’adage ;
« C’est le dernier qui a parlé qui a raison. »
Ceci étant, vous écrivez :
« Cet article
fait la liste des catastrophes de la présidence sarkozienne… »
Si cela avait été vrai, je n’aurais pas évoqué les
présidences de Monsieur Mitterrand de Monsieur Chirac, je me serais contenté de
faire un réquisitoire contre le bilan présidentiel de Monsieur Sarkozy et non
pas de faire un constat des passifs présidentiels et un comparatif des dettes
accumulées.
Vous écrivez :
« poser le
problème de la dette et pas celui des recettes fausse le débat, etc. »
Mon but n’était pas d’entamer un débat sur les bilans
complets des uns et des autres, d’ailleurs, nous n’avons pas tous les tenants
et les aboutissants pour le faire, mais juste de mettre le doit sur les résultats
des politiques menées en dépit du bon sens.
Et vous écrivez :
« enfin conclure
par « gouvernance de gauche comme de droite, même combat », c’est profondément
démago. On croirait un argumentaire du FN. »
Ce commentaire est l’exemple type de ce qui ne va pas en France,
vous me cataloguez, sans même me connaitre, croyez bien que si Monsieur Le Pen
avait eu un bilan présidentiel, il aurait figuré dans ma démonstration, je ne
me suis contenté que d’évoquer ceux qui ont eu le pouvoir décisionnel de ces dernières
décennies.
Ne peut-il y avoir des idées autres que celles qui sont émises
par des hommes politiques en vu, et auxquelles il faut absolument être rattaché.
Désolé pour vous, mais je n’adhère à aucun parti politique,
je tiens trop à ma liberté de penser.