Effectivement, je me souviens très bien des deux principales librairies que je fréquentais dans les années 70/80, et où je cherchais moi-même des livres susceptible de me plaire dans les rayons, puis il y avait le contact humain entre le libraire et moi, ainsi que ses conseils pour certains livres, etc, etc.....
Il m’ arrivais de lui commander des livres don on parlait a l’ époque dans l’ émission de B-Pivot « Apostrophe » et que me faisait venir mon libraire.
Toute une époque !.......
Depuis, les temps ont bien changés, et cela que ce soit pour les libraires comme pour les éditeurs, etc...
Avec les commandes par correspondance sur catalogues, les commandes faites sur internet, les livres téléchargeables en lignes, etc, etc... ce n’ est plus la même ambiance et il n’ y a plus ce contact humain entre le libraire et le lecteur.
Et puis, il y a aussi un autre métier qui est menacé, c’ est celui de l’ édition, car je pense que les éditeurs aurons disparus d’ ici quelques décennies, grâce, ( ou a cause,...) de la facilité de l’ auto-édition.
(C’ est a dire que les écrivains auto-éditent leurs oeuvres,).
MARC-EDOUARD-NABE a lui même auto édité son dernier livre « L Homme qui arrêta d’ écrire », et en formant sur internet sa propre plate-forme de vente en ligne. ( Ça , ça fait chier les éditeurs, car NABE ouvre la voie a d’ autres....).
Mais a chaque époque, une personne devient le cauchemars d’ une profession :
Dans les années 70 le chanteur ANTOINE était devenu le cauchemar des coiffeurs :
A présent CANTONA est devenu le cauchemar des banquiers, tout comme l’ Écrivain MARC-EDOUARD-NABE est devenu le cauchemar des Editeurs !
Mais, il est vrai aussi que pour un écrivain, il est nettement plus rentable de s’ auto-éditer que de passer par l’ intermédiaire d’ un éditeur, libraires, etc....
Un écrivain qui passe par un éditeur, ne touche que 15 ou maximum20% par livre vendu, tout le reste va dans la poche de l’ éditeur et des libraires.
M-E-NABE a déclaré au cours d’ une déclaration publique que son livre actuellement auto édité vendu 28 euros lui rapportait 20 euros par livre net par livres vendus. (Reconnaissez que la différence est hallucinante, n’ est-ce pas ? ).
Cordialement.
VINVIN.