L’auteur de cet article, à la manière d’un Jacques Attali, est noyé dans la mode actuelle du libéralisme. Il n’a plus d’idée personnelle, il ne ressent plus rien, et son intelligence est réelle mais elle tourne à vide.
Les grands capitalistes ont tendance à abuser de leur pouvoir, comme ceux qui ont les pouvoirs militaires, de police, de justice, des médias, les gourous, et en fait le plus petit responsable de la plus petite entreprise. Car ils sont humains, et ils ont donc tendance à vouloir abuser, à moins de se trouver face à un contre-pouvoir.
Si je gagnais à l’Euro-million, peut-être que je ferais comme M. Jean-Philippe SMET et les autres gros capitalistes. Je n’en aurais (en fait) rien à faire de la misère des autres et de leur malchance.
Mais - même alors, je trouverais normal que la collectivité - « veuille » - en m’imposant, une redistribution relative de ce capital.
Il est de la nature humaine d’abuser.
C’est pourquoi il est bon de changer de place les militaires tous les 4 ans, pour les empêcher de penser à un Putsch. De même les flics sont rarement affectés dans les quartiers où ils ont passés leur jeunesse, cela leur ôte (un peu) l’envie des ripoux.
On oblige les politiques à ne pas (forcément) rester sur leur trône, et théoriquement eux aussi ils risquent les affres de la justice.
Pour ceux qui ont le pouvoir du capital et de l’argent, il est bon qu’ils se heurtent eux aussi à un contre-pouvoir, qu’on les oblige à considérer les autres vies - qu’on les oblige, malgré une nature humaine naturellement truande et abusive - à davantage d’empathie pour les autres vies.
Je crois que nous sommes ainsi faits, et effectivement, il faut faire avec, avec les milliardaires et avec les autres, et avec moi.
Il faut aussi faire avec l’auteur de cet article et les gens comme M. Jacques Attali, qui du haut de leur esprit der conquêtes, sont tombés du coté obscur de la force et ne se soucient plus que des grands empires.
Odal GOLD
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