Que dire de plus vrai !
J’ai travaillé comme assistante médicale dans des cabinets de généralistes privés durant 10 années.
J’ai lu des tonnes de revues médicales dont les millions d’articles ventant les qualités des vaccins qui sont mis en doutes justement aujourd’hui !!
J’ai orchestré les saisons de vaccination saisonnières de milliers de patients qui tous en majorité me poser simplement la même question ; « ce sont des vaccinations obligatoires donc ont vient faire piquer notre enfant », ou « Je vais suivre les conseils concernant la RECOMMANDATION de l HAS (Haute Autorité de Santé) et tester ce vaccin que la CPAM ne rembourse pas et ne remboursera certainement jamais !).
Toujours bien moutons les patients exprimaient malgré tout leurs avis ; puis se plier.
J’ai suivi de son début l’alerte H1N1 et j’ai vu le flop évident de cette arnaque ; mais les millions de doses stockées sont là et l’HAS va bien trouver à nous les REvendre !!!
J’ai moi même sous les conseils de mon médecin convaincu ma fille de se faire vacciner pour le cancer du col (Gardagil).
Aujourd’hui que j’ai quitté le médical depuis décembre dernier, je lis et n’entends que des contre RECOMMANDATIONS et me dis »nous sommes tous moutons face a des conseils qui viennent de personne de confiance" , comme notre généraliste !
J’ai le plus grand des respect pour mon dernier employeur ; dans mes tâches professionnelles j’orchestrais plus de 12 rendez-vous de visiteurs médicaux par semaine venant procéder a leur envoutement commercial et venter les qualités incontestables du tout nouveau vaccin de leur firme pharmaceutique sans oublier de nous gratifier de leurs petits cadeaux publicitaires qui finissaient à la corbeille plus part du temps.
Et aujourd’hui je me dis que comme tous les MEDICAUX ne sont aussi que des moutons ; seulement eux ils ont le droit de prescrire les poisons que l’ HAS à jugé, voté, recommandé indispensable pour la santé des français.
Alors si un jour ma fille est atteinte d’une maladie lié directement au fait que le Gardagil lui a été inoculé ; je lui demande juste de me pardonner.