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Commentaire de dup

sur L'ogre chinois vient d'acheter le port du Pirée... cela va lui permettre de « dévorer » encore plus fort l'Europe !


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dup 13 décembre 2010 12:35

les Grecs ruinés et maintenant on leur pique les îles , leurs ports , on leur pique les trains ,les avions , les hôtels et même leur boulot . Voilà la prosperité apportée par cette histoire Belge qu’est l’UE

voilà ce qu’on vous a promis , sorti de mon eurobetisier

 Ils ont osé le dire...

« Le traité de Maëstricht fait la quasi-unanimité de la classe politique. Les hommes politiques que nous avons élus sont tout de même mieux avertis que le commun des mortels ! », Elisabeth Badinter, septembre 92.

 

« Le traité de Maëstricht est le premier traité européen qui comporte un grand volet social », Michel Rocard, septembre 92.

 

« Pour la France, la monnaie unique, c’est la voie royale pour lutter contre le chômage », Michel Sapin, septembre 92.

 

« Il faut savoir que les pays ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent », Pedro Solbes, alors Commissaire européen, origine espagnole, février 2001.

 

« En oeuvrant de concert, l’UE et les EU peuvent constituer une formidable force au service du bien dans le monde », Javier Solana, juin 2003.

 

« Faire l’empire européen, tout le monde le veut », Dominique Strauss-Kahn, juin 2004.

 

« Ce référendum est une connerie. Nous avons fait la connerie de le demander et Jacques Chirac a fait la connerie de le convoquer », Dominique Strauss-Kahn, janvier 2005.

 

« Si le non gagne, tout le monde va quitter la France », Johnny Halliday, 2 mai 2005.

 

« Si la réponse est non, il faudra recommencer le vote car il faut absolument que ce soit oui ! », Jean-Luc Dehaene, ancien premier ministre belge, juillet 2004.

 

« Les délocalisations sont des décisions que les entreprises peuvent et doivent prendre », Manuel Barroso, Président de la Commission européenne, février 2005.

 

« Oui, mais ce que nous devons faire, c’est favoriser les délocalisations au sein de l’Europe », Danuta Hübner, Commissaire européen (origine polonaise), février 2005.

 

« Si le non est si haut dans les sondages, c’est que l’on n’entend plus partout que ses partisans », Alain Duhamel, avril 2005.

 

« La Constitution nous apportera un ministre des affaires étrangères qui nous permettra de parler d’une seule voix tout en gardant la nôtre », Jean-François Copé, porte-parole du gouvernement, février 2005.

 

« Si le non l’emporte, on ne pourra plus revenir sur la doctrine Bolkestein parce qu’elle est incluse dans le traité de Nice », Jean-Marc Ayrault, Président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale et spécialiste des « n’importe quoi », France Info, 10 h 35 le 3 mai 2005.

 

« Il n’y a pas de raison de financer éternellement l’agriculture européenne. Les Européens doivent apprendre à acheter leur vin en Australie ou en Californie, leur viande en Argentine ou au Mexique, leur blé en Ukraine ou aux Etats-Unis », Pascal Lamy, août 2003.

 

« Pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France », Rudolf Von Thadden, ancien coordinateur des relations franco-allemandes, juin 2001.

 

« La Constitution constituera un bouleversement par rapport au concept d’Etat-nation. C’est un changement à l’échelle des siècles de l’histoire », Romano Prodi, alors Président de la Commission européenne, novembre 2003.

 

« Le concept traditionnel de citoyenneté a été dépassé au XXIème siècle. Nous assistons aux derniers soubresauts des politiques nationales », Miguel Moratinos, Ministre des affaires étrangères espagnol, février 2005. 

 

 


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