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Commentaire de Imhotep

sur Hortefeux peut-il rester au gouvernement ?


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Imhotep Imhotep 19 décembre 2010 16:24

Par Anubis (xxx.xxx.xxx.180) 19 décembre 14:34

Bonjour Imothep,
Merci d’avoir passé 10 minutes à écrire plusieurs paragraphe pour répondre à mon innocent persiflage ; votre besoin de reconnaissance est proprement incroyable.


Voilà ce qui est le propre de ce que l’on appelle la perversité. Vous m’insultez, et à chacun de vos arguments je réponds, à vos faux sens, je réponds et vous déviez vers autre chose sans aucune preuve et toujours avec l’intention de me trouver un défaut moral. 


Il n’y a aucune innocence à insulter ceux qui soutiennent une partie de mes articles par un mot inadapté (fayot en l’occurrence). L’idée est la même. Une technique vieille comme le RPR : dénigrer par tout ce qui vous tombe sous la main il en restera quelque chose. Ce sont les fameuses phrases dites sous diverses formes de vos amis : c’est qui lui (elle) ? Qui est-il (elle) pour … ? Il (elle) fait ça pour exister. Etc. On les connaît par cœur ces phrases et ces accusations de forme enseignées dans les réunions de com des partis.

Vous persistez avec votre approximation de la langue. Mais le problème n’est pas là. Vous m’accusez d’un besoin de reconnaissance proprement incroyable, ce qui évidemment ne va pas avec l’anonymat, et de posséder un avatar. Cette contradiction n’est pas la seule. Et c’est justement votre problème. Vous imaginez les autres à l’aune de votre caractère et votre besoin personnel d’avoir le dernier mot vous fait ne jamais répondre quand vous êtes pris en défaut - ce qui a été le cas pour toutes vos accusations avec des mots dont le sens n’a jamais été approprié - , mais à attaquer par un nouvel angle, mais toujours dans le même domaine.


Votre problème est insoluble. D’un côté vous voulez que je sois insignifiant (et pourquoi pas après tout) tout en vous présentant comme le chevalier blanc, le Bayard d’Agoravox qui vient délivrer le monde des horreurs de mes écrits. Le problème, petit Anubis, c’est qu’il faut choisir. Pour que vous soyez digne d’intérêt, pour que votre combat homérique en vaille la peine, il faut que je sois tout autre qu’insignifiant, sinon cela vous rend tout petit, tout médiocre. A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Quel courage, quel panache y aurait-il a terrasser un insignifiant ? Evidemment aucun. En plus d’aucun courage et d’aucun panache, cela prouve votre besoin d’exister et ce même contre ce qui ne représente rien. Il va vous falloir choisir soit je ne suis rien et il vous faut passer votre chemin et ne pas vous abaisser à me répondre, soit pour que votre éminent rôle de redresseur de tort passe la lumière il faudra que cous considériez que je représente quelque chose. Mais faire les deux n’est qu’un oxymore, ce que vous faites en permanence. Ainsi en plus de tordre le sens des mots (à moins qu’en fait vous l’ignoriez) vous débattez-vous dans l’impossibilité totale de vos attaques antinomiques dans leur essence-même. 


Vous vous regardez écrire. Mais vous m’amusez car vos insultes n’ont aucun impact sur moi. Je n’ignore rien de la faiblesse du nombre de lecteurs (quelques milliers quelques rares fois un peu plus) tout comme du score que je peux faire. Je ne cherche aucune notoriété, n’en ai pas le besoin. Je n’ai qu’un combat afin qu’en 2012 la clique au pouvoir débarrasse le plancher. C’est tout. Une fois fini, j’irai regarder pousser l’herbe.

Ne vous confondez pas avec les autres, plutôt ne confondez pas les autres avec vous-même. Cette psychologie de cuisine a un fond de vrai. On appelle cela la projection. Ca ne marche pas mal. Souvent ceux qui ont certains défauts, imaginant le monde à leur image, en habille les autres.


Pour être juste, vous auriez dû éviter de choisir Anubis. Avec sa plume, il intervient dans la pesée des cœurs. Ce n’est qu’un observateur impartial. Ce n’est pas un juge. Vous, vous faites comme les commerçants indélicats qui mettent le pouce sur la balance pour augmenter le poids de la marchandise.


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