Pourtant, il y a des beaux morceaux de malthusianisme :
« Comment faire entrer une croissance infinie, même faible, dans un espace aux limites bien réelles ? »
Est ce vraiment une question !?! Passons sur la forme. Les limites sont sans cesse dépassées. Ce n’est justement pas à un jugement apriori qui ne distingue en rien les types de croissance de décider (ressemble furieusement au manque de crédit publique sans intérêts car il n’y a pas de distinction entre le crédit productif à encourager pour avoir des nations fortes et le crédit pour des dépenses de fonctionnement).
Concrètement, le nucléaire est sans limite par exemple. ITER sera abandonné vu l’énormité d’avoir un magnétisme permanent mais la fusion sera là dans 40 ans par l’inertiel ! Il y a même 2 méthode pour y parvenir, la Z-machine et le laser hyperjoule !!! Ne parlons pas de la transmutation (retarder pendant 3 ans à Mol par les écolos belge pour ne surtout pas améliorer les déchets nucléaires ooooh ironie).
Désolé mais il y a une autre école de pensée qui donne au vivant une qualité anti-entropique (supporté par la création de l’atmosphère par le vivant donc créateur de richesse) découvert par Vladimir Vernadsky. Comme par hasard, c’est une vision fataliste et entropique qui domine en plein création d’un bloc anglosaxon avec des nations couvertes de dettes sans distinction du type de crédit publique.
"L’empreinte écologique de la France a dépasser une planète à la fin
des années 60. Sommes trois fois plus heureux aujourd’hui que dans les
année 70 ?"
Euh, je suis un peu obligé de transposer pour obtenir quelque chose de valable parce que si la France avait vraiment une empreinte pareille...
"La croissance fait baisser le chômage. Pourquoi le chômage, après une
période de croissance de plusieurs décennies est il toujours aussi
élevé ?"
Osez pensez que depuis l’UE et la fin des 30 glorieuses, il y de la croissance autre que financière et migratoire, il faut le faire ! D’abord en chiffre absolu (+1%, +0,0001%,...), il n’y a pas eu de croissance véritable. Ensuite de nouveau pas de distinction selon le type de croissance.
Une croissance industrielle est autre chose. Et chez nous, nous avons les règles environnementales les plus strictes au monde. Avoir délocaliser l’industrie dans le silence complice des décroissants est une honte sur le plan écologique et rien avoir avec le CO2 ou l’impact des transports.