Les monothéismes appellent à des valeurs, mouais et alors ?
j’en ai même salué ici, on a fait de moi un islamiste !
trop drôle !
Les religions comme la République repose sur des valeurs. En république, par définition la-ïque la religion est UNE valeur, pas plus : elle n’est pas ce qui régit le pays. C’est bien là l’erreur des fêlés de Riposte Laïque : pour eux, la religion (enfin une seule chez eux, obnubilés et focalisés, pour ne pas dire « illuminés ») est à proscrire. La laïcité n’a jamais affirmé ça, tout au contraire. Elle prône le respect des croyances religieuses, et leur non ingérance en retour dans les affaires du pays.
Le problème actuel est tout autant l’argent que dépense l’état ou les collectivités pour des monuments religieux pompeux et ostentatoires que l’Eglise est désormais incapable d’assumer : parler des minarets, pourquoi pas : parlons alors des millions d’euros investis dans le patrimoine de l’Eglise : et ça, ça ne bouscule pas les idées de LaPen, si tenté qu’elle ait un cerveau différent de celui hérité par patrimoine génétique.
Les communes « pourront » : c’est une possibilité, cela devient une obligation en cas « d ’ offre de concours » suffisante des fidèles. Dans l’hypothèse où des réparations sont indispensables pour laisser une église communale ouverte au public, « l’offre de concours » (participation financière) des fidèles ou du curé, si elle est suffisante, s’impose à la commune. Obligée de l’accepter, elle est tenue de faire les travaux. Les communes sont responsables en cas d’accidents dus au défaut d’entretien, comme le stipulent de nombreux arrêts de jurisprudence, ce qui doit les conduire à ne pas négliger cet entretien. Cet engagement financier possible de la commune concerne l’entretien et la conservation des églises ; ces deux notions ont été largement interprétées par les collectivités propriétaires et par l’autorité de tutelle.
alors, LaPen, t’y as pensé à celle-là ?