Commentaire de Walid Haïdar sur Le Projet Venus : analyse critique (1/3)

Commentaire de Walid Haïdar

sur Le Projet Venus : analyse critique (1/3)

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Walid Haïdar 6 janvier 2011 14:24

oui c’est ça, mais j’aime concevoir la résilience comme une aptitude qui ne se cantonne pas à cet aspect ombre et lumière, conscient-inconscient, mais qui est plus globalement un équivalent de l’adaptabilité.

Je préfère alors le mot résilience à adaptabilité, car il a une connotation plus complexe, et fait résonner la dimension de la gestion du mal, de la douleur.

La résilience « antrhopologise » l’humanité, en rendant son concept moins dangereux car plus humain justement.

L’humain est trop humain comme disait Nietzche, mais la société ne l’est pas assez je trouve.

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