Les gouvernements se désintéressent totalement des SDF et des pauvres en général.
Ils laissent ce problème au « charity business ».
C’est à la fois une bonne chose puisque ça permet que des gens ne meurent pas de faim, mais c’est aussi une mauvaise chose dans le sens où les personnes humiliées par cette charité ne relèvent plus la tête, se contentant du peu qu’on leur accorde.
Ne pensez-vous pas que c’est un subterfuge pour conserver un semblant de paix sociale ?
Que se passerait-il si toutes ces personnes ne recevaient pas l’aumône ? Ne finiraient-elles pas par se révolter ?
En fait on les maintient dans cet état de dépendance à la charité pour qu’elles ne se révoltent pas contre la condition qui leur est faite.
Tous ces politicards, au chaud l’hiver et au frais l’été, qui s’empiffrent et se goinfrent, n’ont aucune idée de ce que les pauvres et les SDF doivent supporter. Sans quoi ils ne se glorifieraient pas d’ouvrir des asiles de nuit quand la température descend en dessous de zéro et de s’en sentir très satisfaits comme s’ils avaient fait un exploit.
Les milliards donnés aux banques auraient été mieux investis dans la construction de logements, surtout quand on sait qu’à cause d’elles des milliers de gens se sont retrouvés à la rue.
Pourquoi ne se sert-on jamais en justice des articles de la constitution ? Il est vrai, qu’à moins qu’ils aient commis un délit, les SDF sont rarement en mesure de demander justice. Il ne semble pas exister d’avocats militants dans ce domaine.
Une chose est évidente : quand un individu ne paraît plus « rentable », on le jette.