Il reste beaucoup : le principe de l’économie basée sur les ressources est valable, même sans recours unilatéral de la technologie. Dans de très nombreuses régions du globe, le recours à des structures technologiques dantesques (voyez les structures proposées dans le P.V.) ne sont pas utile à bon nombre de gens, qui n’en demande pas autant, mais seraient parfaitement satisfaits en ayant simplement la possibilité de subvenir par eux-mêmes à leurs besoins de base : un lopin de terre, une maison, même rustique, quelques poules et une ou deux vaches. Pourquoi imposer une dépendance à des structures technologique pour ces besoins ?
La technologie peut néanmoins s’avérer un outil utile dans d’autres cas, par exemple dans des régions arides. Donc, je préconise des réponses et des solutions locales pour des questions et des problèmes locaux, tandis que j’évoque la crainte de voir imposer des solutions globales à des questions et problèmes globaux, parce que cela n’est pas à l’échelle humaine, et ce qui échappe à l’échelle humaine devient par nature, selon moi, inhumain.
La critique du système actuel contenue dans le P.V. reste tout-à-fait pertinente. Le principe de répartition équitable des ressources et de l’accès à ces ressources reste tout-à-fait valable.
Je ne pose des questions et soulève des réserves que vis-à-vis de l’aspect apparemment exclusivement technique, scientifique, voir scientiste du paradigme proposé par le P.V. Mais si des réponses convaincantes sont apportées à mes questions, et que des solutions rassurantes sont exposées devant mes réserves, alors je peux réviser mon analyse.
C’est le but.