A do ngoc tran, vous n’êtes peut être pas économiste, mais vous savez vraisemblablement compter comme la plus part des gens. Vous trouverez facilement sur internet les informations suivantes. Le système de répartition français se résume a un grand brassage d’argent entre membre de la classe moyenne avec un cout de redistribution qui est le plus élevé de l’OCDE. Redistribuer un euro a un cout de fonctionnement de un euro. Les pauvres sont les grands négligés de système. Les administrateurs les grands privilégies. Vous pouvez parier que parmi les intervenant edifies par cet article, vous avez une grande quantite de gens qui emargent a cet argent, animateurs sociaux, intermittents du spectales, employés de la sec soc, qui n’ont aucune envie que l’on s’interroge sur le fonctionnement global du truc et vivement envie que l’on s’intéresse au salaire des banquiers. Allez voir par exemple deficit du regime des intermittent et crédit politique de la ville ( 120 000 intermittents 8 millions d’habitant des citees) regardez notamment le taux d’utilisation des credits d’intervention ( l’argent qui sert aux ’pauvres« ) Il y a des annees ou il descend a 40% et celui des crédits de fonctionnement, les salaires de ceux qui l’administre, rarement en dessous de 100% et souvenez vous des degre de mobilisation respectif de la gauche alterbio trotsko sur le premier dossier et sur le second.
A 58% du pib en dépense publiques, il est clair que l’argent potentiel des pauvres est dans le budget de l’etat et pas dans les poches des riches et que ceux qui prétendent le contraire peuvent être soupçonné de ne pas être complètement désintéresses quand ils font semblant de confondre les dividendes avant et après impôts, les patrimoines et les revenus, le financement et le desendettement des entreprises et l’accaparement capitaliste.
Prenez 100%des dividendes et vouas avez moins d’argent qu’en améliorant de 10% le fonctionnement de l’etat. Et en plus dans le second cas c’est chaque annee, dans le premier,quand vous aurez tous pris une année aux »riches" il est sur que l’année suivante il n’y aura plus rien.