Vous dites : « c’est le capitalisme et le libéralisme qui haussent le niveau de vie de millions, voire de milliards de personnes »
Le crédit productif public (Alexander Hamilton), est la base d’une nation : il permet à une Banque nationale de faire des avances au Trésor pour la réalisation de grands travaux d’équipement de l’homme et de la nature, dans un contexte westphalien. Le profit se répercute alors en économie physique.
Le libéralisme, c’est le système britannique de libre-échange. Par définition, il s’agit d’un système impérial puisqu’il interdit à une nation d’émettre son propre crédit productif : la nation est obligée de l’acheter à des intérêts financiers. Le profit n’est alors pas économique mais financier. La mort est inscrit, depuis 2.500 ans, dans le « code génétique » d’un tel système.
Vous dites : "En Chine, en Inde et dans toute l’Asie, le libéralisme donne la
possibilité à tous d’accéder à une vie de plus en plus proche de notre
vie d’occidentaux."
Jusqu’à présent, ces pays ont été soumis, tout comme nous, au libéralisme de l’empire britannique - bien que la Chine soit le seul pays au monde a avoir un Glass-Steagall. Ils étaient donc soumis. Depuis les accords du 13 octobre 2008, ils ont tourné le dos à l’empire financier de Londres pour se développer de manière westphalienne grâce aux principes du Crédit productif public d’Alexander Hamilton.