Ozon, qui fait des articles chez Novopress, du Bloc identitaire :
Le référendum helvétique sur les minarets a, une fois de plus, fait ressurgir une opposition de plus en plus franche entre les partisans de deux légitimités contradictoires. Les démocrates, dont nous sommes, considèrent que la démocratie est une source de légitimité, certes imparfaite, mais incontournable. Les contre-démocrates pensent que leur idéologie est source de légitimité politique et prime sur le choix exprimé par le peuple.
le plus drôle est le « Les démocrates, dont nous sommes »....
attention, voilà comment il pense le penseur à Marine :
L’idéologie à la mode, celle qui prétend décréter le bien, le beau et le bon, c’est le « Oneworldisme », l’idéologie « Open », vecteur de la volonté de domination de la nouvelle classe mondiale. Le bras armé moral de cette idéologie, ce sont les droits de l’homme, un système de pensée qui prétend fonder la dignité humaine et ses modes d’expression sur la seule appartenance à une catégorie zoologique, « l’humanité », plutôt que sur l’histoire, la culture, les modalités d’expression de celle-ci. Cette idéologie s’attaque ainsi aux droits existants des hommes libres et enracinés, dont celui de choisir, en toute responsabilité et liberté, ce qui lui semble bon, pour lui et pour les siens. Bref, tout ce qui fait de l’être humain un sujet de droit concret.
c’est un resucée du « droitdel’hommisme » cher à...LePen, Jean-Marie.
Une pensée qui ne cache même pas ses origines :
« Comme l’écrivait Alain de Benoist : « Un régime démocratique tient […] sa légitimité du consentement du peuple, celui-ci étant généralement exprimé par le vote. En dernière analyse, la démocratie est le régime qui consacre la souveraineté du peuple. A l’inverse, le discours des droits de l’homme se donne d’emblée comme certitude morale universelle, censée s’imposer partout du seul fait de son universalité. Sa valeur de vérité ne dépend donc pas d’une ratification démocratique. Mieux encore, il peut s’y opposer. »
Alain de Benoist étant un grand démocrate progressiste, c’est bien connu :
Idéologue de la Nouvelle droite, une droite conservatrice, européenne, païenne, souverainiste.
Fondateur du Grece (Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne) et de la revue Eléments pour la civilisation européenne.
Auteur de nombreux ouvrages dont, notamment, Vu de droite, anthologie critique des idées contemporaines, Editions Copernic, Paris 1977 ; Les idées à l’endroit, Ed. Libres-Hallier, Paris, 1979 ; L’empire intérieur, Fata Morgana, Paris, 1995 ; Comment peut-on être païen ?, Albin Michel, Paris, 2000 ; Critiques théoriques, L’Age d’Homme, Lausanne, 2003 ; Présentation d’Edouard Berth, Les méfaits des intellectuels.rééd. Krisis, Paris, 2007
qui pêche la même chose que .... Ozon :
qui »salue« un autre grand démocrate :
Ozon ,qui souhaite diriger le monde par référendums :
Nous sommes donc bien à un tournant historique. La super-classe mondiale, la majorité des politiciens, médias et faiseurs d’opinions sont aujourd’hui tombés de toute évidence dans le camp de la contre-démocratie (1). Le peuple est dangereux, la démocratie est dangereuse ? Qu’à cela ne tienne, ils ont entrepris de changer le peuple en favorisant la colonisation de peuplement et ont entrepris de s’attaquer logiquement au dernier recours d’expression du peuple : la démocratie directe.
allez on admire la pensée :
Nous voulons rendre au peuple la maîtrise de son destin et son droit légitime à avoir prise sur les institutions qui prétendent avoir prise sur lui et sa famille. Ce n’est que justice. Le moment est venu de défendre la tradition démocratique en Europe face aux menées liberticides des contre-démocrates.
en somme, on va élire des gens qui vont décider de s’auto-détruire car c’est au peuple de décider directement : en voilà une idée qu’elle est pratique... Y’en a un autre qui disait la même chose, avec »UN PEUPLE« , »UN REICH« et UN »FUHRER« (ben oui, faut bien un »représentant du peuple« pour parler aux autres peuples, un type élu à 99% des suffrages, voire 101%...)
donc La Marine se pointe avec comme penseur un gars qui raconte partout que finalement, on n’a pas besoin d’elle si on est »démocrate", ou alors qu’elle deviendrait un hitler féminin : moi j’appelle ça un handicap pour elle... un LOURD HANDICAP...