Débat intéressant.

Le ver est toujours dans le fruit, en effet. Il suffit de voir les endettements monstrueux des états et collectivités réalisés sans que les populations ne mesurent encore bien ce que cela va entrainer.
L’effet se voit toujours mieux lorsque l’on est endetté personnellement. Au point de ne plus pouvoir manger.

Par contre, le contrôle de la descente me parait moins piloté que tu ne le penses.
Cela fait deux ans que les annonces de changement de centre de pouvoir mondial vers l’Asie ont commencé et le pays qui « devrait » prendre la relève se souci de lui et se fout des autres.
Il y a hégémonie économique MAIS pas politique.
(peut-être parce que le modèle de dictature ne peut pas s’ouvrir et doit régler ses problèmes intérieurs avant toute chose)
Hors, cela est un changement brusque qui ne permet pas de remettre en place une organisation suivante de façon sûre.
Tous les pays satellites sont donc déstabilisés.

Coté financier, là, c’est encore pire.
En effet, les socialisations de pertes des banques avec garanties des gouvernements ont permis aux banques et fonds de pension d’augmenter ENORMEMENT le pouvoir des pompes à concentration. En gros, ils sont trop gros pour avoir peur du moindre risque.
Et y sont même obligés car avoir une rentabilité inférieur au concurrent est la seule crainte.
Il faut donc ratisser sur tout ce qui bouge. Ou même ne bouge pas (livrets A, placement, assurances-vies, banque de france, fond de retraite par capitalisation, biens matériels nationaux, etc...)
Le fait de racler à ce point est assez révélateur d’une descente plutôt en vrille sur une aile.. Non... ???

Surtout lorsque l’on voit que la propagande atteint des sommets d’hypocrisie qui n’avaient jamais été même imaginé et que la nervosité des dirigeants officiels devient tellement perceptible qu’elle en devient palpable.
(on retrouve le même phénomène en entreprise, d’ailleurs...)

A+, Cosmonaute