bonjour , je ne considere pas le solaire comme energie d avenir,pas meme l eolien, ce sont des gadgets couteux et destinée a remplir les poches des industriels.....les allemands ne prenne pas l energeie solaire ,comme un avenir, mais seulement un complément voici la voix que suivent les allemands ,et ce que je demande a titre personnel....
L’ingénierie du plasma permettrait une incinération parfaitement saine de tous les types de déchets tout en offrant un rendement supérieur à celui obtenu par des méthodes d’incinération classiques. Les écologistes pensent que le traitement des déchets sans aucun rejet est utopique et que cette technologie est un simple alibi pour ne plus séparer et trier les déchets.
Le grand avantage de ce procédé est que la température extrême empêche toute émission. Cette température est obtenue au moyen d’une torche à plasma. Il s’agit d’un dispositif tubulaire fabriqué dans un alliage métallique spécial à base de cuivre, dans lequel sont amenés du gaz et de l’électricité. Un système de contrôle régit l’introduction de gaz, la charge électrique, le mécanisme d’allumage et le système de refroidissement. L’on obtient ainsi un effet de foudre : une flamme brûle avec un énorme dégagement de chaleur. La seule différence avec la foudre, c’est qu’il ne s’agit pas d’un éclair unique, mais d’une flamme constante. Une torche à plasma peut atteindre jusqu’à 15.000°C et est capable de couper une plaque métallique de cinq centimètres comme du beurre…
Ces températures élevées sont l’essence même de la pyrolyse par plasma. En dessous du seuil magique de 2.000°C, l’on parle d’incinération. Jusqu’à 500°C, l’on obtient une déformation de certains matériaux et à partir de 700°C, il commence à se produire un frottement moléculaire. Dès 1.727 °C, les molécules se cassent sous l’effet de la vibration et l’on assiste au passage de l’état solide à l’état liquide et de l’état liquide à l’état gazeux. M. Joos : « Au-delà de 2.000°C, l’on parle d’ingénierie du plasma. Les atomes commencent à vibrer sous l’influence de la chaleur extrême et à partir de 2.760°C, ils se décomposent. C’est à ce niveau que se décompose la structure moléculaire de tous les produits. »
Tous les déchets se composent de matières organiques (composés du carbone), de métaux et de minéraux tels que le fluor, le soufre ou le chlore. La flamme incandescente de la torche à plasma casse les composés carbonés qui se décomposent en hydrogène et en monoxyde de carbone (CO). Les métaux et minéraux restent à la surface et s’écoulent du four sous la forme de lave. Ceux-ci peuvent être réutilisés de diverses façons. M. Joos : « Vous pouvez faire refroidir la lave dans du sable pour obtenir un produit vitreux. Ou vous pouvez l’immerger dans de l’eau pour obtenir de petites boules et des perles de verre convenant parfaitement pour la fabrication de matériaux de construction. De touts façon, la masse de lave se solidifie en agrégats inoffensifs. »
c’est également pour cette raison que l’entreprise qu’il représente s’est imposée beaucoup plus rapidement en Italie, en Espagne et en Turquie qu’en Europe occidentale et septentrionale. "Dans les pays du sud de l’Europe, les groupes de pression favorables à l’incinération sont nettement moins puissants. De plus, ces pays sont contraints, depuis des années, d’importer de l’électricité. Global Plasma Systems vient juste de signer un contrat concernant la construction des toutes premières installations européennes à Valence (Espagne) et à Vicence (Italie). Les installations de Valence auront une capacité de traitement de 120.000 tonnes par an, dont la moitié de déchets ménagers et la moitié de déchets industriels toxiques, notamment les déchets hautement dangereux des tanneries ; le gaz de synthèse alimentera une turbine d’une capacité de 35 mégawatts. Le réacteur à plasma de Vicence affichera quant à lui une capacité de 130.000 tonnes par an et sera également combiné à une centrale de 35 mégawatts.