Salut,
Enfin, un post à peu près potable, il était temps !
Mais je vais jouer les grincheux. Celui-ci est trop égal dans sa forme alors qu’il mérite de ne pas l’être.
Votre construction propose deux paragraphes : un sur l’Égypte et le monde arabe (en gros) et le second sur le voisin qui flippe un peu Israël.
C’est mal fait, il aurait fallu accorder plus d’importance au premier.
En effet, je pense que les femmes et hommes de la rue qu’ils soient à Tunis, Alger, Alexandrie ou au Caire n’en ont rien à braire d’Israël pour le moment. Ce n’est pas leur préoccupation.
Cette lame de fond est d’abord une lame citoyenne avec un cortège de revendications simple : refus de vivre sous les dictatures, un avenir avec un travail à la clef, et de quoi se nourrir décemment.
Les soucis politiques vis-à-vis ou de l’état hébreu ne transpirent même pas.
Ensuite, que cet état s’interroge sur les conséquences que cela puisse engendrer est aussi légitime, mais pas de quoi en faire une montagne ?
Et si j’avais un conseil à donner, ce serait d’appuyer dans le sens de la libération des peuples. En effet, un peuple qui vit dans la concorde on peut l’inviter à sa table et discuter sereinement avec lui afin de trouver des solutions pacifiées pour l’ensemble des communautés.
Mais bon, l’intelligence est ce qui manque paradoxalement très souvent du côté de Tel-Aviv.
A peluche