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Commentaire de 2102kcnarF

sur MAM : « J'ai pas raté l'avion ! »


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2102kcnarF 7 février 2011 21:51

Nous l’avons vu dans le chapitre précédent comment l’engrammation d’un message au niveau cellulaire agit sur le corps entier. L’image est un des moyens possibles pour engrammer une information. Pour qu’il y ait engrammage, cela demande que le message s’effectue à un niveau « non intellectuel », c’est-à-dire à un niveau sans mot, d’avant les mots (ce qui fait la puissance de l’image et de l’imagination). Dans notre cerveau il existe plusieurs rythmes qui ordonnent, pour chacun, un niveau physiologique et/ou psychique. Ces différents rythmes sont mesurables avec un électroencéphalogramme.  Cet appareil permet d’enregistrer les différentes ondes électriques émises dans le cerveau. On calcule ces rythmes en hertz (Hz). Un hertz équivaut à une ondulation par seconde. Nous possédons une gamme très large de rythmes. Les rythmes les plus hauts révèlent un organisme dont l’activité mentale est forte. Un individu stressé se trouvent dans ces hauts rythmes...

Ainsi les mots, ces formes codifiés par convention, correspondent à des rythmes différents de ceux qui correspondent aux processus végétatifs ou émotionnels. Tant qu’un message est purement intellectuel, c’est-à-dire émis ou reçu à 21 cycles par seconde par exemple (plus précisément à partir de 13 cycles par seconde), le message passe sans engrammation cellulaire, il est juste stocké dans une mémoire superficielle, qui passe très peu au niveau physiologique. Par exemple, les choses apprises à l’école et pourtant ressassées pendant des années, se voient disparaître en quelques mois, alors qu’une chanson entendue pendant l’enfance, à un moment ou l’intellect n’est pas développé, reste toute l’existence en mémoire. Cette chanson est engrammée cellulairement, elle fait donc partie d’une mémoire vivante, non intellectuelle, non superficielle et donc pérenne. Elle correspondait à un besoin réel, elle représentait un nutriment vivant pour l’individu aussi l’a-t-il absorbé et intégré. Ainsi les données purement théoriques, sans charge nutritive, « vernissent » l’être sans l’imprégner… et l’imprégnation, l’absorption par besoin vital se font en dessous de treize cycles par seconde.

Aussi afin que le Futur s’engramme

et se révèle véritablement dans nos cellules,

comme dans toute cellule organique appartenant au vivant,

il est nécessaire de porter ce Futur au niveau

des cycles du cerveau non intellectuels…

En effet un message émis à 10 cycles par seconde passe dans nos propres cellules mais aussi dans des cellules d’autres organismes…

Ainsi l’eau se trouve modifiée par un message émis à un niveau organique non intellectuel. De nombreux travaux scientifiques le montrent. Selon le message qu’elle reçoit, sa cristallisation change, et celle-ci rendue perceptible en gelant l’eau, est par ailleurs facilement vérifiable.

L’autre paramètre qui fait la puissance de l’engrammage

se trouve  dans la répétition.

Quand un individu agit par habitude, il est aussi régit par des émotions déclenchées par automatisme, et cette répétition de fonctionnement émotionnel enferme l’individu dans des schémas profondément ancrés. Aussi le Futur demande que nous lui offrions un espace qui puisse détrôner le pouvoir énorme de nos habitudes, afin qu’il prenne racine et supplante nos agissements automatisés, effectués tel des actes par procuration, parce que dénués de conscience…

L’humain est en effet constitué de plusieurs rythmes. Au fur et à mesure de son édification, l’individu accélère ses rythmes. Ainsi à quatre ans l’enfant à un cerveau qui vibre à quatre cycles par seconde. A sept ans son cerveau a ajouté des cycles et il vibre à sept cycles par seconde. A treize ans, l’individu vibre à treize cycles par seconde, et à ce stade il entre dans les cycles dits intellectuels, c’est-à-dire en aptitude à codifier de manière conventionnelle les choses… Il peut penser avec des mots par exemple, ce qui lui était impossible jusqu’ici. Auparavant sa pensée se constituait uniquement par images, même s’il employait des mots. Avant treize ans, ce qui pour une personne plus âgée correspond à un mot, est image pour le jeune… Un concept, pure abstraction non sensorielle, est dépourvu de sens pour un être qui vibre en dessous de treize cycles par seconde. Comme nous oublions ce phénomène et que les enfants utilisent rapidement le langage parlé, nous nous illusionnons sur la différence des mécanismes internes pourtant profondément différents entre les âges, ceci parce que les effets, les expressions de ces mécanismes ont une apparente similitude.

Nous nous édifions pendant 21 ans. Le cerveau met en action toutes ses fonctions seulement au bout de 21 ans… Nous bénéficions alors de rythmes de 21 cycles par seconde. Bien que nous utilisions ces 21 cycles quasi en permanence (à chaque fois que nous pensons avec des mots par exemple) tous les autres rythmes (de 1 à 21 cycles par seconde) cohabitent en nous et permettent notamment le fonctionnement végétatif qui s’ordonne sans que nous y pensions, mais aussi celui émotionnel,

qui n’a rien à voir avec celui de la pensée (par mot), qui elle fonctionne

par convention abstraite et…  insensible.

Dès que nous nous endormons nous glissons rapidement de 21 cycles par seconde à10 cycles par seconde. Lorsque nous regardons la télévision, nous tombons, là aussi, à 10 cycles par seconde… la vision répétée d’arbres bordant une route et espacés de la même manière nous plonge également dans cet état propre aux 10 cycles par seconde… proche de l’endormissement. Plus nous accédons à des cycles bas plus les informations que nous « laissons entrer » s’engramment profondément. Les peuples premiers le savent et mettent en place des phénomènes de transe qui permettent alors de descendre en dessous de 8 cycles par seconde. A ce niveau nous approchons des cycles de la Terre. En se mettant à ce niveau consciemment nous obligeons notre tête à cesser son agitation, à stopper les phénomènes parasitaires polluant le vivant, et permettons aux rythmes purement organiques, qui contiennent les mécanismes de régénérescence d’œuvrer sans frein, sans obstacle... voire nous les dynamisons et démultiplions leur action de réparation ou de création.

Seul l’humain connaît des rythmes au-delà de 13 cycles par seconde. Aussi quand un individu redescend en dessous de 13 cycles par seconde il se remet au niveau du vivant intuitif, instinctif, purement émotionnel et non intellectuel, au niveau d’une communication qui passe entre les différentes espèces…


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