« »«
Ce qui fait que si l’on actualisait les remboursements des annuités futures au temps « t », aujourd’hui par exemple, il n’y aurait tout simplement pas assez d’argent pour couvrir les dettes. Donc pour pouvoir continuer à fonctionner, ce système a besoin d’une croissance infinie des PIB, sinon il s’écroule ! »« »
Voilà le point principal.
Mais complètement ignoré des journalistes, des politiciens, et sûrement de certains économistes (certains n’en parlent jamais !).
Faut-il être ingénieur pour se poser des questions ?
En tant qu’ingénieur, cela me fout hors de moi.
Egalement quand je lis ceci :
Un élément intéressant : la part très importante des intérêts cumulés dans le prix des objets :
« Dans une étude des années 1985, l’économiste allemande Margrit Kennedy démontre qu’il y a, en moyenne, 40% d’intérêts cumulés dans les prix hors taxes de TOUTES les consommations, en analysant des comptabilités en cascade (donc y compris celles des fournisseurs). Elle arrivait par exemple à :
- 12% d’intérêts financiers cumulés dans le ramasse public des ordures.
- 38% dans le prix de vente de l’eau.
- 77% dans le prix des loyers des habitations sociales.
Dans une autre étude plus récente (2001), Ralf Becker, par une méthode totalement différente, celle de l’analyse des postes des comptes nationaux allemands, arrive à une moyenne de 46% ».
(« Les 10 plus grands mensonges sur l’économie » par AJ Holbecq et P. Derudder)
Cela va dans le sens de votre article.