La solution pour les
paysans n’est pas de leur faire vendre des terres non mais je rêve
!!!!!!!!!!!il ne suffit pas de les plumer maintenant il faut leurs
voler leur terre . Cette solution elle est tres simple il suffit de
bloquer les prix a la vente de tous les produits ALIMENTAIRES ,
régulation obligatoire pour tous les hypers ,suppression des marges
arrieres et fixation d’un coefficient de marge maximum , une
régulation du marché en taxant les produits d’importation qui
arrivent moins chers que les biens produits en France par ces mêmes
agriculteurs comme ceux qui viennent par exemple du Maroc .et
d’interdire aux agriculteurs de vendre sans un coefficient de marge au
moins égale a deux . Cela ne coute rien ,tout est une question de
volonté et les bénéficiaires en seront les consommateurs et les
agriculteurs ,si l’on prend exemple d’un kilo de poires produit a 17
centimes l’agriculteur le vendrait a 34 centimes et le commerçant 68
centimes , actuellement ce même kilo est vendu 17 cent prix coutant
et on le retrouve a 2,5 euros 3 euros sur les étals des hypers ou
est le blème ???
les hypers sont arrivé a
une situation de quasi monopole et pratiquent les prix qu’il veulent
et le dindon de la farce c’est le consommateur et l’agriculteur .
Autre chose les
agriculteurs devraient se grouper et faire des magasins de vente
directe qui court-cicuite les hypers en vendant beaucoup moins cher
ils seraient gagnants et les hypers seraient obligés d’adapter leur
prix .
Les moyens ne manquent pas
, terminé les subventions débiles qui dit subvention dit impôts y
en a marre on crève tous les petits et moyens salaires de cette
situation
20% d’augmentation du gaz
ne parlons pas du pétrole et de l’électricité , non mais on va ou
là !!!!!!!!!!!!!!!et nos retraites et salaires ne bougent pas il est
ou le président du pouvoir d’achat bande de c--- incapables
réveillez vous vous ne
voyez pas qu’on va droit dans le mur c’est quand les gens crèvent de
faim qu’ils font des révolutions et personne ne sera gagnant de
cette situation .Ni les pauvres ni les riches