La publication du courrier qui a trahi le
mépris du Président français Nicolas Sarkozy vis-à-vis
des autorités
ivoiriennes et leur peuple, trouble le sommeil de l’expéditeur. Lui qui
croyait agir
en toute discrétion, se trouve au centre d’une honteuse
affaire. Si bien que Nicolas Paul
Stéphane Sarkozy de Nagy-Bosca cherche
à réparer l’irréparable. Toute honte bue, le
président français dépêche
en ce moment, des émissaires français dans des capitales
africaines,
pour essayer de redorer le blason. Arguant que sa lettre à Youssouf
Bakayoko
(Cei), dans laquelle il lui enjoignait, à mots couverts, de
prononcer les résultats de l’élection
présidentielle du 28 novembre
2011, en Côte d’Ivoire, en faveur du candidat Alassane
Dramane Ouattara,
n’a jamais existée. Une manipulation française qui ne dit pas son nom.
Mais le Président sud-africain Jacob Zuma à qui il a voulu faire avaler
le gros mensonge, a
refusé de recevoir l’Ambassadeur de France (en
Afrique du Sud). Ce dernier avait été
dépêché par son patron auprès du
président sud-africain, pour remettre en cause
« l’authenticité » de la
lettre du Président français Nicolas Sarkozy à Youssouf Bakayoko.
Trop tard. Cette fameuse lettre qui a précipité la Côte d’Ivoire dans un
conflit post-électoral a
été déjà présentée à Sem Jacob Zuma ainsi
qu’aux Présidents Jakaya Kikwete de la
Tanzanie, Idriss Deby du Tchad et
Mohamed Ould Abdel Aziz de la Mauritanie, par le Président
Laurent
Gbagbo de la Côte d’Ivoire, lors de leur mission
du Panel de l’Ua à Abidjan. Il en sera de même partout où le fils
chanceux de M. Nagybócsai
Sárkozy Pál tentera de cacher le soleil avec
la main. A cette allure, il faut s’attendre que
Sarkozy fasse le tour
des Palais présidentiels des chefs d’Etat membres du Panel de l’Ua,
dans
la crise ivoirienne qu’il a créée de toutes pièces. Mais des
humiliations successives
l’attendent. Son système de lobbying prendra
ainsi un coup dur dans sa volonté de nuire à un
peuple qui ne demande
que le respect de sa souveraineté.
Et c’est tant mieux ainsi................................................................. .................... !