il s’agit de prendre le
pouvoir par morceaux en s’emparant de tous les quartiers du District
d’Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire. Et siège, pour
l’instant, du pouvoir
exécutif. Abidjan est le symbole de la fierté
ivoirienne parce qu’elle concentre l’essentielle
de l’activité
économique ivoirienne. Il espère donc contraindre le président Laurent
Gbagbo
à se retrancher dans son Palais présidentiel, au Plateau.
Tous les quartiers d’Abidjan devant être contrôlés par sa bande
armée. C’est le sens des
attaques d’Abobo, Treichville, Koumassi,
Attécoubé, etc. ,par des rebelles à la solde de
Ouattara et dont
l’action se traduit par l’assassinat des Forces de défense et de
sécurité
(Fds) et des populations soupçonnées de ne pas être proches de
Ouattara. Un peu
comme à Bouaké, à Korhogo et à Man dès l’irruption de
la rébellion armée en 2002.
Alassane Ouattara avait déjà affiché sa
volonté d’en découdre après la proclamation des
résultats de l’élection
présidentielle du 28 novembre 2010. Il s’est retranché à l’hôtel du
Golf
avec les principaux chefs de guerre et la partie civile de la rébellion
: Watao, Morou
Ouattara, Guillaume Soro.
A qui il a donné les moyens (financier et matériel), comme l’a
reconnu Koné Zakaria, l’un
d’eux afin de porter le glaive dans le sein
de la mère patrie. Depuis l’hôtel du Golf, Ouattara
n’a cessé de
menacer, d’insulter tous ceux qui contrarient son intention de prendre
le
pouvoir par la force des armes. Où tout ceci mènera la Côte d’Ivoire ?
Nul ne le sait........................................... !
Mais il
faut compter avec le peuple ivoirien et son
armée. Qui n’ont pas dit leur dernier mot........... !