"une
coopération sur le problème de l’eau par exemple, enjeu majeur
pour l’Égypte selon l’ancien Secrétaire Général de l’ONU,
l’Égyptien Boutros Boutros-Ghali qui, à 88 ans, participait
encore le 28 février 2011 à une émission télévisée (sur France
3). "
Tiens tiens ,
Monsieur Boutros-Ghali est de retour dans nos media pour être écouté
comme la voix de la sagesse sur les plateaux de la télé
française...
Monsieur
Boutros-Ghali, ce grand ami de François Mittérand au début des
années 90 - car complice n°1 de la Cellule Africaine ultra-secrète
de l’Elysée - , qui, tout l’hiver 1993-1994, empêcha tous les
câbles d’alarme de la MINUAR au Rwanda toujours plus urgents sur la
situation, de parvenir jusqu’aux oreilles du conseil de l’ONU...Tout
en essayant de persuader personnellement un responsable buté et
tenace de la MINUAR de laisser faire et de rentrer chez lui. C’était
compter sans le caractère entier de ce responsable, le
Lieutenant-Général Roméo-Dallaire, le Blueberry du Rwanda. Qui a
résisté à sa supra-autorité un bon temps en restant là-bas,
jusqu’à la tragédie du stade - la scène de début du film
« l’Interprète » avec Nicole Kidman copie cet événement -
, puis en a fait une dépression, après avoir accepté de voir qu’en
fait, les ennemis réels et insurmontables, c’était ses employeurs
(le haut sommet de l’ONU)...
Monsieur
Boutros-Ghali vient maintenant nous parler de l’eau. Cette
« coopération de l’eau » qu’il promeut, bien entendu, est
dans l’intérêt public et du plus grand nombre. Elle n’a rien à
voir bien sûr, avec le soutien à des intérêts privés mondiaux
sur une ressource qui nous est plus que vitale.
Nous connaissons
tous les actions bienveillantes de Monsieur Boutros-Ghali pour
l’intérêt de milliards de pauvres ou/et anonymes comme nous et les autres. Les Tutsi et les
Hutu (même les ex-endoctrinés) sont des millions à pouvoir en témoigner...