@ Logan
Excusez moi d’être exilé (et non expatrié) , d’être français, et concernant mes medias de ne pouvoir regarder que ceux de nationalité étrangère.
Je ne pensais pas en écrivant cet article pour tacher de prendre un peu de recul sur notre cancer de la dette, devoir lire votre proposition de retirer la nationalité française à tous ceux, expatriés ou exilés, qui auraient eu le malheur de sortir de leur village.
Je constate que vous êtes resté au chaud dans le votre..
.Néanmoins, par courtoisie, je réponds à vos observations puisque, de toute évidence, par xenophobie, vous me pretez des propos que je n’ai pas tenus :
La loi de 1973 nous sauve de l’hyper inflation. Je suis d’accord avec vous, ce n’est pas elle qui nous épargnera l’inflation à venir ; mais ce ne sont pas les banques privées qui, sous pretexte qu’elles creent de la monnaie, en seront les seules responsables ; il y aura sur inflation car il y aura eu sur endettement ; le recours sans retenue à l’emprunt est seul suicidaire.
Il faut rembourser la dette : oui ; si vous voulez continuer à emprunter et après vous, vos enfants à leur tour oui, il faut rembourser la dette ; si ne voulez plus emprunter et interdire à vos enfants d’emprunter, vous avez raison : faites un doigt aux banques en leur servant votre excuse sur l’illégitimité de la dette ; néanmoins quand vous l’avez boullotté vous ne l’avez pas trouvé illégitime, votre emprunt. Vous auriez pu ,si la confiture n’était pas à votre gout, rendre le pot avant de l’avoir vidé.
Il faut sauvegarder la qualité de notre signature : je trouve vos commentaires totalement irresponsables ; aucun de nos cocontractants ne doit pouvoir seulement suspecter notre bonne foi encore moins notre honneteté, encore moins notre volonté de rembourser ; car si cela devait arriver, ce serait la fin du commerce, une perte de confiance telle que nous en serions réduits à vivre en autarcie. Mais il est vrai, pour comprendre cela il ne faut pas être planqué à l’arrière dans son village...
Il n’est pas possible d’imposer les riches : ce n’est pas ce que j’ai dit ; j’ai dit surimposez les riches ils fuieront, surimposez les pauvres ils s’insurgeront. ; l’histoire et l’actualité me donnent raison.
Merci néanmoins d’avoir reconnu que la France en faillite, vue de loin ou de près, est UN FAIT.
Cordialement,
FD