Commentaire de ROBERT GIL
sur L'Etat français en faillite : la spécifité française (III)
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Il est malhonnête de parler de dette sans examiner les avoirs. On n’est pas en faillite simplement parce qu’on est endetté, mais seulement quand on a plus de dettes que d’avoirs. Mais si l’on brade ses biens, et que l’on continue à rembourser sa dette on se met soi-même dans une situation difficile.
L’argumentation de la dette publique n’est qu’un prétexte pour justifier de nouvelles privatisations. Un gouvernement qui baisse les impôts des plus riches et qui multiplie les cadeaux sans contrôle ni contrepartie, ne peut s’étonner de la hausse du déficit de l’Etat. Plus de 45 milliards d’euros transitent chaque année des finances publiques vers les caisses des banques ou des individus qui détiennent des bons du trésor.
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12/03 04:05 - francois DESVIGNES
je vous remercie. Je suis confus. J’ai comme vous l’avez compris proposé à la (...)
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11/03 15:37 - fifilafiloche
M Desvignes, Je suis impressionne par la profondeur de votre analyse, qui, analyse avec (...)
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10/03 16:42 - Dogen
@ DG Je dirais que la dette structurelle n’est pas du au fonctionnement de l’etat, (...)
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10/03 13:56 - DG.
vue votre précédent billet, et spécialement la carte « en rouge et vert », vous devriez vous (...)
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10/03 13:50 - DG.
en fait, quand vous pensez dette structurelle, vous pensez dette due au fonctionnement de (...)
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10/03 11:22 - francois DESVIGNES
@DG Il ny a pas de différence de nature entre la dette conjoncturelle et la dette (...)
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