• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de francois DESVIGNES

sur L'Etat français en faillite : la spécificité française


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

francois DESVIGNES francois DESVIGNES 10 mars 2011 04:20

Nous sommes le pays dont les prélèvements obligatoires sont les plus lourds au monde !


Je n’ai pas osé leur dire ils m’auraient lyncché...
 
Vous n’avez nulle part pris en compte les retraites
 
Les retraites publiques n’ont pas à être comptabilisées d’avance dixit Bercy. : la créance n’est pas née...(...). Bon, devant autant de mauvaise foi...
Combien ? 45 points de plus d’endettement, 900 milliards...
Ah oui, mais ellee st pas « née »...
Sublime escroquerie..
 
Je formulerai une remarque :
Votre analyse, bien que se voulant économique reste essentiellement financière. En effet, les situations ne sont pas statiques et il est toujours possible de mener une politique économique qui évite (comme il est toujours possible du contraire, malheureusement). Imaginons une politique qui permette le redémarrage économique et la re-création de plus value. Les recettes fiscales augmenteraient, le PIB croîtrait, diminuant, en valeur relative le poids de la dette... Utopie ? Non, les solutions existent.
 
Entièrement d’accord.
 
une solution ? il faut urgemment restaurer la valeur travail. Bosser comme des Chinois (et non pas comme Guerlain)
 
Et comment bossent les Chinois : toujours plus de qualité toujours plus de quantité, sans compter : on ne compte pas l’effort, uniquement le résultat.
 
Si la France réapprenait cela, un endettement de 80 % de son P.I.B. serait essuyé en quatre ans. Sans aucune VRAIE difficulté. Nos usines réouvriraient ; le secteur assisté serait fermé ; la retraite serait facultative (et jamais prise) ; les malades n’existeraient pratiquement pas ; les vieux préfèreraient mourir tranquilles que de se voir transformer en cobayes cliniques ; il n’y aurait pas de statut du fonctionnaire, seulement des statuts de métiers ; les salariés seraient par ailleurs investisseurs ; chacun aurait au moins deux métiers de front , pour répartir les risques et engranger de l’épargne ; les écoles tourneraient à plein régime, les gosses travaillant 35 heures ; les batiments seraient encore ouverts la nuit pour les cours du soir ; les magasins aussi pour les courses ; la technologie serait partout ; l’investissement systématique ; des villes pourraient pousser en six mois ; on apprendrait dès cinq ans aux enfants à parler au moins deux langues ; à dix ans l’ordinateur n’aurait plus de secret pour eux ; etc etc
 
cette soicété ne serait pas aussi doucereuse que celle que vous connaissez mais elle a un avantage sur celle que vous vivez : même le plus humble, le plus handicapé, le plus exclu y a un avenir. là où notre société n’a plus qu’un passé.
 
Cette société de l’avenir, vous l’avez devine, a un nom : elle s’appelle l’Asie. 
 
 

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès