@François Collette,
Ce qui est pitoyable c’est avant tout de constater que la crise politique belge affecte l’ensemble des investissements, dont ceux liés à l’univers carcéral et peut-être aussi les ressources nécessaires au fonctionnement de la justice ... ?
Par conséquent, le « gouvernement en affaires courantes » est contraint de trouver des solutions palliatives. Qui pourrait le lui reprocher ?
En revanche, je ne vois pas en quoi la langue néerlandaise serait un obstacle pour les détenus francophones ?
Qu’en serait-il si ces mêmes personnes étaient détenues en Flandres néerlandophones, à Anvers par exemple, ne seraient-elles pas soumises aux mêmes conditions ?
Je ne sais pas si le droit belge, accorde aux détenus le choix d’être emprisonnés au gré de leurs choix géographiques et linguistiques. Après tout un détenu est par définition privé de liberté, sous réserve que celui-ci ne subisse pas de traitements dégradants bien évidemment ?
Cordialement !