Première information :
« Le Thorium naturel se désintègre plus lentement que la plupart des autres matières radioactives » (source wikipedia)
Deuxième information :
"Il
existe néanmoins encore de nombreux verrous à lever avant de construire
un prototype de réacteur à sel fondu. Il faut par exemple parfaitement
connaître et contrôler les propriétés physiques et chimiques du sel. Le
LPSC travaille notamment à mettre au point des méthodes pour le
retraiter et en évacuer les produits de fission. « Pour l’instant, nous cherchons à démontrer la faisabilité d’un tel réacteur
», admet Christian Le Brun. Dans cette optique, le laboratoire s’est
doté d’une plate-forme, baptisée Peren, pour étudier, entre autres,
l’extraction des produits de fission et le retraitement des déchets
(voir Le journal du CNRS, n°162-163, p. 6). Si les réacteurs de
génération IV voient le jour, quel que soit le principe retenu, le
problème des ressources en combustible fissile ne devrait plus se poser. (source CNRS)"
Conclusion :
Avant d’aborder un sujet aussi complexe il faudrait prendre la bonne habitude de s’informer.
Ce sont des projets, et ce n’est pas dans cinquante ans que l’on a besoin d’électricité mais maintenant...
Il n’est même pas dit que l’on va continuer dans le nucléaire civil en France.
En clair, va-t’on continuer l’entretien du parc actuel ou va-t-on envisager sérieusement d’accepter un changement radical qui ne pourra se faire que petit à petit ?
(plus de nucléaire ? moins de nucléaire ? Changement de technologie ?)