« Autre chose qui me pose question, c’est le score du front national dans mon canton et mon département, parceque là, vraiment, les faits que vous décrivez, ça n’existe pas »
Personnellement j’ai fui mon quartier car il était devenu invivable.
Du moins il aurait fallu que je change mon style de vie : appels à la prière, faire ramadan car de toute façon il était impossible de dormir..
Bref j’ai subi l’immigration invasion, et j’ai constaté de mes yeux l’impossibilité de la cohabitation entre les cultures : des gamines de 16 ans qui se promènent en djellabas dans la rue ; des familles qui vivent aux crochets de la solidarité nationale et qui abusent de la nullité des employés organismes sociaux ; des « travailleurs » qui ne travaillent jamais, et qui ramène en France, femme(s), parents, et enfants qui profitent de la solidarité que nos parents se sont emmerdés à mettre en place ; ces mêmes familles qui du fait d’un coefficient familial délirant sont prioritaires pour l’attribution de logements sociaux, pendant que le smicard francais ne trouve pas de logement. ; et il faut le dire aussi ces mêmes familles consanguines avec une forte proportion d’enfants souffrant de troubles psychiques, et pour qui la CAF dépêche tous les matins une armée de taxis pour aller à l’école... pendant que les enfants « blancs » se tapent des bus en grêve. Et tout ce petit monde, se pavanne avec des chaussures à 100 euros la paire, et des maillots de foot aux couleurs de pays où l’on chie dans les rues, mais dont pourtant ils se disent fiers.
Maintenant je vis à la campagne. Des immigrés y’en a pas un.
Mais j’ai pas oublié. Je sais pour qui je vote, et pourquoi.
Et pourtant je ne suis pas d’accord avec l’essentiel des thèses du front national.
Mais quand je vois ce qui s’est passé dernièrement avec le projet de loi sur la déchéance de nationalité et le rejet, par les partis des bobos du XVIème, de ce projet qui pourtant s’impose comme un évidence, je me dis qu’il faut impérativement que le débat sur l’immigration se fasse.
Quitte à supporter les conneries de Marine.