Hier, à « ce soir ou jamais », sévissait un larbin de la « mondialisation » que Taddéi nous sert régulièrement, Olivier Bardolle, qui se définit lui-même comme « réactionnaire », alors qu’il ne réagit à rien du tout mais enjoint tout citoyen à se plier à la règle de l’oligarchie mondialiste triomphante.
Les regards enamourés qu’il lançait à JF Kahn pour évoquer notre « futur président », qui ne serait que le représentant de la France dans le « gouvernement mondial », suffisaient à démontrer que DSK est le candidat de la droite la plus pourrie.
Le français, dans ces débats, est pris pour le parfait crétin. Irait-on dire à un Américain, un Chinois, un Japonais, un Russe, qu’il n’a plus de nation que ses représentants ne sont que des consultants du « gouvernement mondial » ?
Dites le donc à un Sud Coréen ou un Israelien. Mais nous oui. On peut tout se permettre.
Il s’est même payé le luxe d’un exemple : « Un jour, le gouvernement mondial pourrait nous obliger de détruire nos centrales nucléaires ! »
Quel « gouvernement » ?
Il n’existe qu’une régle générale : « le plus de profit possible, le plus vite possible ». Règle à laquelle obéissent parfaitement les actionnaires de la centrale japonaise, dans l’élaboration, les règles de sécurité et même le temps perdu à espérer encore « sauver » cette magnifique pompe à fric.