@ Perseus,
Je ne savais pas que c’était vous qui donniez les bons point et disiez ce qui est juste et approprié. Mais je comprends bien que cette dernière phrase est la seule qui vous ait fait réagir.
Refuser le racisme, soit les théories vantant la supériorité d’une race sur une autre, ne suppose pas d’être en accord avec des gens dont l’antiracisme est le métier mais qui ne réagissent que sélectivement - pas de plainte contre Houria Bouteldja et ses diatribes anti-blancs, par exemple. On ce qu’elle dit, cette stigmatisation d’une catégorie de la population entre précisément dans la définition du racisme. Il se trouve qu’en effet les anti-racistes professionnels ont perdu tout sens de la pédagogie et que des sorties aussi grosses que celle qui concerne la série Barnaby est imprégnée de cette peur de se positionner, de prendre la parole, de penser par soi-même. Car rien ne permet de dire que cette série entre dans une catégorie raciste ou proche du racisme. Reportez-vous à la définition que j’ai citée : le racisme ce n’est pas tout et n’importe quoi.
Les réactions des commentaires tendent à montrer que peu d’intervenants sont en accord avec le procès d’intention fait à cette série. A moins que vous ne les considériez tous comme des racistes ?
Le procès d’intention n’est pas une chose souhaitable. C’est le début de la censure mentale. Ou bien il y a un fait pénal et il peut être démontré, ou il n’y a pas de fait pénal et la critique tombe dans la diffamation. Ce qui est pénal !
Je me demande à qui M. Carrazé voulait faire plaisir en écrivant son article.