Eh bien... Non, vous ne m’avez pas convaincu.
Si je me permet de dire que certains se contentent d’attendre que les fruits de leur capital « tombent » dans leur assiette, ce sont mes origines dans la bourgeoisie, entouré de gens qui fréquentent le Rotary, le lions, la FM, etc. Et pour certaines personnes parmi eux, c’est la réalité, pas un mythe. Plus on a d’argent placé, et plus on a d’argent. C’est un fait.
Sur la nature humaine, ma réflexion se nourrit d’Albert Jacquart, de Bourdieu, de Sapolsky, de G. Maté, de Donald Winnicott, et d’autres... Et aussi de mes études en sciences sociales.
Sur les conséquences des inégalités, mon propos se construit d’après des ONG comme l’Observatoire des inégalités, ou s’inspire d’études comme celles menées par Richard Wilkinson, Noam Chomsky, ou des personnes moins connues comme Florent Bresson.
Je pense que le mythe et l’attitude dogmatique appartiennent plutôt au tenants du modèle capitaliste néo-libérale. Quand je vois l’attitude d’un Bancel et d’un Francq, qui défendaient mordicus lors d’un récent colloque auquel j’ai assisté que les banquent prêtent l’argent de leurs déposants... Ceci, en contradiction totale avec les principes de la création monétaires décrits dans « Modern Money Mechanics », de la FED de Chicago, ou encore dans les écrits de Maurice Allais (seul prix Nobel d’économie Français) et Irvin Fisher.
Je ne vais pas m’étaler plus parce que j’ai autre chose à faire.
Simplement, je salue votre remarquable argumentation. C’est stimulant d’avoir des adversaires comme vous. Au plaisir de croiser le fer avec vous !