Cher Snow62fr,
N’espérez aucun commentaire digne d’intérêt de la part des écolos et sympathisants qui s’acharnent en ce moment à flatter les émotions de peur, à stimuler le cerveau reptilien des gens.
N’espérez pas une contradiction raisonnable ou argumentée de vos chiffres, notamment ceux de la hausse de consommation de l’énergie à l’échelle mondiale, les écolos sont dans le déni total et près du délire total. Ils ont choisi de fuir la complexité, de cesser de penser un monde complexe, pour un univers très simple où il y a le bien et le mal, où il y a des choses « propres » et des choses « sales », un monde où il y a des morts qu’il faut compter et d’autres que l’on peut passer sous silence, un monde simple et parfait dont ils sont les « annonciateurs ».
N’espérez pas dialoguer, discuter, avec des gens dont la pensée est faite de croyance, dont les référents scientifiques, économiques, sociaux, tiennent à de petits prospectus du parfait militant écolo, des petits livres vers où l’on apprend que « l’optimum démographique humain » pour la planète est de 3,6 milliards d’êtres (20 millions pour la France). En effet, les verts ont un projet de « décroissance démographique » ; il ne leur reste qu’à trouver les « moyens » d’atteindre ce but morbide.
N’espérez pas la moindre intelligence venant d’eux. Ils sont en guerre idéologique. Ils préparent un totalitarisme soft où tout ce qui est « bien », « propre » et « durable » nous sera peu à peu imposé, jusque dans nos gestes quotidiens. Aujourd’hui, les clercs verts dispensent la peur, la catastrophe, la fin du monde, car ils savent bien combien ce thème est efficace pour conquérir le coeur des masses.
Les écolos sont violemment anti-humanistes. Il est temps de gratter un peu derrière l’image verte, derrière la pub et les beaux drapeaux, au-delà des slogans racoleurs, par-delà l’image romantique de « dénonciateur indépendant » pour montrer le visage vrai de leur idéologie. Le malthusianisme. L’élitisme. La pensée manichéenne. Le repli sur soi. La culpabilisation. La peur. La propagande. Le conformisme social. L’individualisme économique. Et le projet de « mouler » l’homme à leur pensée (forcément idéale ou, pour les plus modérés, forcément meilleure).