on vous rappelle que vous l’avez SOUTENU ou pas Jules ? Serait temps de vous amender....
vous l’appréciez tant :
« Si le sortant Laurent Gbagbo gagne, ça ne sera que justice puisque, c’est l’homme qui a oeuvré sans faille à la paix, en tendant la main à tout le monde. »
« D’un autre côté, je n’ai pas apprécié la condescendance de certains pays occidentaux, notamment la France qui a osé demander que le processus électoral ivoirien se termine vite. Au nom de quoi ? Un chef d’Etat africain a-t-il le droit de parler du Karachigate, de l’affaire Bettencourt ou des élections françaises ? Il faut que ça cesse et, c’est vrai que des gens comme Laurent Gbagbo ne se sont jamais couché face au diktat occidental. »
réflexion d’un « intellectuel » comme vous :
« Le pire est à craindre. Mon seul souhait, éviter la politique à tombeau ouvert. Ce que je veux, au plus fort de moi-même, c’est que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire. Le reste, je m’en branle royalement comme de ma première petite amie dont j’ai même oublié le nom…heu….c’est Nadine. Au temps pour moi princesse ».
vous vous foutez du monde, Jules, vous vous foutez du monde !
jules auteur de « A travers Mouammar Kadhafi, c’est toute l’Afrique qu’on attaque ».... admirateur de la folle Calixthe, elle aussi admiratrice de Kadhafi...
votre idole littéraire :
« Calixthe est une groupie inconditionnelle de Kadhafi et aussi de Laurent Gbagbo, tous deux considérés comme des représentants du panafricanisme en lutte contre le néo-colonialisme occidental (surtout français). On voit avec ce que l’avenir nous a appris la pertinence du jugement de certains intellectuels : Kadhafi, à l’heure où j’écris ces lignes, serait responsable de peut-être6000 morts, Gbagbo sans doute moins. Mais on attend de connaître avec impatience ce qu’en pense Calixthe Beyala : si c’est le prix à payer pour le panafricanisme, pourquoi pas ? »
Dans une tribune au Figaro le 11 décembre 2007, Calixthe Beyala a dressé une ode à Khadafi. On peut y lire :
’’« Le colonel Kadhafi est un homme hautement respecté dans son pays et en Afrique. Ce respect n’est pas lié, comme aiment à le clamer les langues chagrines, aux pétrodollars, dont, dit-on, la Libye regorge, mais à ses actions. Il a été de tous les combats de libération des peuples opprimés. Les combattants de l’ANC en Afrique du Sud ont été heureux de le compter parmi leurs plus grands soutiens, et les Noirs maltraités de l’ancienne Rhodésie lui doivent un morceau de leur accession à l’indépendance. Autour de sa personnalité se cristallisent les mille espoirs de l’Afrique de demain, celle qui aspire au bien-être, celle qui veut compter et compte déjà dans le concert des Nations, celle qui, pleine d’espoir et dont les yeux sont braqués sur l’horizon 2015, attend impatiemment que se confirme la création des États-Unis d’Afrique, cette organisation qui la verra plus forte, plus unie, plus que jamais pacifiée. »
et vos MENSONGES et vos FAUX SCOOPS :
vous êtes grotesque, Jules, désormais ! GROTESQUE ! et vous êtes désormais DECOUVERT.
Et certainement pas un intello, comme l’a remarqué Perseus.