Arrêtez de moinsser la réalité bande de débiles, la Turquie est constitutionnellement laïc, c’est un fait, point barre !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pays_la%C3%AFcs#Pays_constitutionnellement_la.C3.AFques
Pays constitutionnellement laïques[modifier]
- France : article 1 de la constitution de 1958. (Voir aussi l’article détaillé : Laïcité en France ; mais concordat pour l’Alsace-Moselle)
- Inde : 42e amendement à sa Constitution de 1947, le Constitution Act (1976) a permis d’inclure le mot secular devant les mots « Democratic Republic » dans son préambule.
- Japon : article 20 de la Constitution de 1947. Durant la première moitié du XXe siècle,
et particulièrement durant les années 1930, les régimes militaristes
qui gouvernèrent le Japon avaient imposé le « shintoïsme d’État », forme
exacerbée et instrumentalisée du shintoïsme
traditionnel. Élaborée et adoptée durant l’Occupation américaine
(1945-1952), la Constitution actuelle intègre les conceptions
occidentales de laïcité et de séparation de l’Église et de l’État.
- Mexique : article 3 (éducation laïque) et l´article 24 (liberté de pratique religieuse) de la Constitution mexicaine de 1917.
- Uruguay : article 3 de la constitution de 1964 (Tous les cultes sont libres en Uruguay. L’État ne soutient aucune religion.)
- Éthiopie : article 11 de la constitution de 1994 : « 1. L’Etat et la religion sont séparés. »[28]
- Bolivie, depuis le 26 janvier 2009
- États-Unis : l’Etat fédéral est officiellement laïque (1er amendement de la Constitution) mais certains États financent certaines religions[réf. nécessaire]. La Cour suprême a accepté de se saisir d’une affaire, où la Cour d’appel pour le neuvième circuit avait jugée, le 14 mai 2008 inconstitutionnelle la présence d’une croix dans un mémorial commémorant la guerre de 1914-18 sur un terrain fédéral dans le désert du Mojave (le Mojave National Preserve (en)) [29],[30].
- Turquie : dans la constitution, 10 décembre 1937
par « l’État turc est républicain, nationaliste, populiste, étatiste,
laïque et réformateur » (Türkiye Devleti, Cumhûriyetçi, Milliyetçi,
Hâlkçı, Devletçi, Laik ve İnkılâpçı’dır), les « six principes d’Atatürk ». Cependant l’Etat turc finance la formation des imams musulmans et la création d’écoles coraniques[réf. nécessaire].
- Portugal : l’article 41, paragraphe 4 de la constitution de 1976, établit que l’État est laïque. Toutefois, il s’agit là d’une laïcité seulement théorique, car le concordat de 1940 avec le Saint-Siège est resté en vigueur, de même que la loi no 4 du 21 août 1971, souvent qualifiée de loi relative à la liberté religieuse, qui affirme également le statut spécial de l’Église catholique. Cette spécificité a été encore confirmée en 2004, lorsque le Portugal a signé avec le Saint-Siège un nouveau concordat,
permettant d’actualiser l’ancien dont certaines dispositions, en
particulier relatives aux activités missionnaires dans les anciennes
colonies portugaises, étaient obsolètes. Le nouveau concordat
reconnaît certes la liberté religieuse, mais « garantit le caractère
exceptionnel des relations entre le Portugal et l’Église catholique sans
que rien n’entre en contradiction avec l’ordre juridique portugais »,
et montre bien que le principe constitutionnel de laïcité n’est que
purement formel.
- Brésil : Les Églises exercent une forte influence dans la politique brésilienne[31].
Elles interviennent dans le débats des campagnes électorales. Plusieurs
partis politiques ont un nom qui évoque une religion : Partido Social Cristão, Partido Social Democrata Cristão ou encore Partido Trabalhista Cristão. Au Parlement brésilien, le groupe évangélique est composé de 63 députés (sur 513) et 3 sénateurs (sur 81)[31].