ASIUS,
Vous citez à juste titre les dépressions post partum et les relations inta-familiales comme pouvant être suspectées.
En effet, la fragilité psychique du fœtus et du jeune enfant est si importante (et si peu connue) et les modes de maternage si peu conformes aux besoins de ce fœtus/jeune enfant qu’on est tenté, même sans preuves, d’attribuer une part de responsabilité aux conditions environnementales (dont les parents -et non pas seulement la mère- constituent l’essentiel).
J’ajoute donc à mon commentaire précédent qui ne visait que les produits chimiques, ce facteur familial/environnemental et culturel.
J’apprends par cet article que la médecine semble suivre le développement de l’autisme. Ce n’est pas le cas pour la plupart des autre troubles psychiques qui peuvent augmenter régulièrement sans que l’on s’aperçoive de leur développement, et sans qu’en conséquence ’on s’inquiète des causes, évidemment.
Comme chacun ne veut pas le savoir, ces causes sont à rechercher dans les conditions du maternage et de l’élevage, du système éducatif notamment, sans doute plus que dans la pollution chimique.