Au fond, ce type de torchon, qui pullule de plus sur ce site, ne fait que démontrer, si besoin était, le profond dérangement mental dont souffre une grande partie de la populace française. Pétainiser un individu comme Sarközy, alors que, sous Vichy, les Juifs n’étaient même plus autorisés à accéder à la fonction publique, tient d’un grotesque que seuls les singes du zoo de Vincennes pourraient apprécier à sa juste valeur.
Pas un seuls des 27 000 alinéas des vingt-cinq programmes de l’UMPS de destruction systématique de la France ne fait la moindre allusion à la famille et à la patrie comme socle de la société, mais cella n’empêche naturellement pas ce tordu de nous assurer que « L’idéologie de nos dirigeants véhicule deux pensées contradictoires, la première est que la famille et le travail constituent le socle de la société ». Vu son patronyme, il n’est peut-être pas aussi tordu que cela, après tout. Vu son patronyme, peut-être ne fait-il que vendre la soupe habituelle des Levantins
Il y a plus : ce torchon, s’il est sincère - la sincérité n’est qu’un succédané de la droiture (tout le monde peut être sincère... ; droit, c’est autre chose ; la sincérité, c’est du sentiment ; la droiture, c’est de l’être ; on peut devenir sincère, l’être à certains moments et ne pas l’être à d’autres ; en revanche, on est droit ou on ne l’est pas ; tout le monde, même le pire des drogués, peut être sincère ; seule une minorité d’individus peuvent être droits ; au fond, la sincérité, c’est l’alibi des individus qui n’ont aucune droiture) - s’il est sincère, ne témoigne pas moins d’un profond désarroi parmi les démocrates de tout poil. Ce desarroi est dû au fait que les fanatiques de la religion totémique démocrate, c’est-à-dire les inconscients suppôts - pour rester poli - de la franc-maçonnerie, refusent de reconnaître que le monde dans lequel ils vivent, ou, plus exactement, qu’ils parasitent est le résultat de la victoire des trés-démocrate Judéo-Yankees en 1944. Ils refusent de reconnaître que l’époque actuelle est une suite logique de la « libération », des principes mondialistes et pro-immigrationnistes des Judéo-Yankees. D’où une fuite en avant dans la schizophrénie et la recherche pathologique du grand méchant loup fachiste rené, du diable national-socialiste réincarné, à grand renfort d’angélisme et d’humanitarisme : pour tout dire, de regression anale.
Qui est à l’origine de cette folie qui a conduit à accorder le vote aux femmes ? Le fasciste Pétain ? Que nenni : le très-démocrate de Gaulle. La raison pour laquelle il n’est pas un seul fanatique du totémisme démocratique qui ose regarder l’histoire en face est que le miroir de l’histoire renverrait le démocrate à sa propre pourriture.
Les divers fascismes avaient résolu en quelques années la question sociale en redonnant une dignité, c’est-à-dire un emploi, un salaire décent et, donc, un moyen de bâtir une famille, aux Européens, loin de la moralle de midinettes des mondialistes et des pro-immigrationnistes. Le bilan des mondialistes, des pro-immigrationnistes, bref, des donneurs de leçons, est accablant : une Europe au bord du chaos, social, économique, politique, spirituel. La morale, à la base du calvinisme (cohenisme) qui est lui-même à la base de ce monstre que sont les Etats-Unis, a d’ailleurs toujours été le bras gauche armé du capitalisme spéculalif. Pendant qu’on fait pleurer la populace, on peut l’arnaquer en toute impunité. Les Européens sont devenus des chialeurs invétérés : des midinettes, toujours prêtes à chialer, plutôt que de regarder la réalité en face ;