« Aucun salut nazi lors de la conférence mais de la jovialité chez Reynouard de jour-là, oui. »
ah, les nazis sont aussi sympas... et font plein de gosses (7 pour Reynouard !)
et un gosse de 2 ans parle à ses parents de Nuremberg ? A qui allez-vous essayer de fourguer ça, menteur ?
le voilà votre gentil nazillon
Se revendiquant du « national-socialisme », il dit aussi appartenir au courant catholique traditionaliste. Son épouse fréquente la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX), dont Richard Williamson, un des évêques, a récemment fait la Une de l’actualité pour ses propos favorables à la négation du génocide des Juifs commis par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale (sur la FSSPX, voir notre dossier ).
oui, vous avez bien lu : « national-socialisme »
voilà ses productions :
et voilà ses gentillesses :
selon nos informations, Vincent Reynouard, un négationniste français condamné à un an de prison ferme le 8 novembre 2007 pour contestation de crimes contre l’humanité et actuellement en fuite, est venu leur dire un petit “bonjour”. Or, Raynouard est un “client” : Catholique intégriste (il estsédévacantiste) et national-socialiste (il dirigerait le Mouvement de combat Saint Michel), cet ancien membre du PNFE- groupuscule néonazi- a été révoqué de l’éducation nationale. Il est en outre extrêmement actif sur le net où il s’échine à se tailler un costume de “proscrit pour ses idées”.
« ancien membre du PNFE » :
le mouvement nazi du PNFE :
Le Parti nationaliste français et européen (PNFE) était un groupuscule d’extrême droite néonazi, raciste, antisémite et xénophobe fondé en avril 1987 à la suite d’une scission du Parti nationaliste français et inactif depuis 1999. Comme beaucoup d’autres groupes d’extrême droite français, le PNFE utilisa la croix celtique comme emblème. Sa devise était « France d’abord ! Blanche toujours ! ». Parmi ses membres, on peut citer le négationniste Vincent Reynouard ; Erik Sausset, rédacteur de la revue Le Flambeau, en fut le président de 1996 à 1999.
En janvier 1994, les Faisceaux nationalistes européens (FNE) de Mark Fredriksen se rallient au PNFE.
Le PNFE rallia des policiers français issus de la Fédération professionnelle indépendante de la police (FPIP). Mais la majorité de ses membres étaient des skinheads nazis.
Le président du PNFE était Claude Cornilleau, ancien militant du FN. Élu conseiller municipal RPR de Chelles (Seine-et-Marne) en 1983, il fut démissionné en 1987 par le maire RPR, tant ses propos étaient virulents.
La réalité est plus complexe : si les deux organisations diffèrent aujourd’hui sur nombre de points - radicalisme, effectifs, stratégie électorale - le PNFE n’en est pas moins un enfant du FN. A la fin des années 70, en effet, alors que le parti de Jean-Marie Le Pen n’est lui-même encore qu’un groupuscule, certains de ses membres constituent une petite tendance autour de la revue Militant, qui fut un temps l’organe officiel du FN. On y retrouve d’anciens soldats SS, dont Pierre Bousquet (premier trésorier du parti de Jean-Marie Le Pen). Mais aussi Claude Cornilleau, un traducteur d’une quarantaine d’années, nostalgique de l’Occupation. Souvent proche des thèses néonazies, ce petit noyau d’irréductibles finit par quitter le Front national à la fin de 1981, estimant que Le Pen était « devenu un jouet entre les mains des sionistes ».
Après quelques tergiversations, Claude Cornilleau - qui, entre-temps, a réussi à être élu conseiller municipal RPR à Chelles ! - fonde, en 1987, le PNFE, un groupuscule ouvertement néonazi.
Défilés paramilitaires au château du Corvier, uniforme brun frappé d’un brassard rouge rappelant celui des SA, publications, comme Le Flambeau, ouvertement antisémites : le PNFE regroupe entre 50 et 200 militants, souvent très jeunes. « C’est le seul parti à avoir été capable d’intégrer durablement des skinheads », explique Jean-Yves Camus (1).
c’est dans cet uniforme que parade votre nazillon « jovial » !!!
Le parti de Cornilleau vient par ailleurs de recevoir le renfort des troupes de Mark Fredriksen, ancien candidat du Front national aux législatives de 1978 et fondateur de la Fane, un groupuscule néonazi dissous au début des années 80.
le programme du PNFE :
bièren baston, racisme : vous allez conseiller ça à votre gamin de 2 ans ?
L’UEJF et l’association « J’Accuse » ont d’abord ciblé une librairie qu’on croyait disparue : la Librairie du Savoir, dont l’ancien patron s’est volatilisé en Roumanie et qui s’est installée sans aucune publicité dans le quartier Denfert-Rochereau. Une véritable caverne d’Ali Baba pour négateurs amateurs ou professionnels y a été découverte : exemplaires de la brochureL’Holocauste au scanner du suisse Jurgen Graf (voir notre encadré et son document ci-dessous) et diverses périodiques négationnistes, comme les Annales d’Histoire révisionniste, laRevue d’histoire révisionniste, Akribeia et Tabou.
La Librairie du Savoir diffuse également des brochures éditées en Belgique par l’officine négationniste VHO, notamment Le mensonge d’Auschwitz par l’illustration, ainsi qu’une brochure antisémite anonyme et sans dépôt légal intitulée Le procès des falsificateurs de l’histoire et Sans concession, la revue publiée, toujours depuis la Belgique, par Vincent Reynouard. Ce dernier est l’un des principaux responsables des réseaux de propagande négationniste. Il s’est « exilé » à Bruxelles pour éviter la justice de son pays (à ce sujet : voir dans la colonne de droite la référence de l’article de RésistanceS consacré à Vincent Reynouard).
besoin d’un marteau pour enfoncer ses clous, le négationniste Berger ?
elle est belle, votre notion de la famille...