Cher Asterix, il est vrai qu’en qualité de membre du Conseil, mon patronyme a participé à la condamnation à l’exil du tien suite au vol du chaudron rempli de sesterces confié par Moralélastix, le chef gaulois d’un village voisin désireux d’échapper à l’impôt romain.
Asterix et Obelix étant ensuite en devoir de « gagner leurs vies » (commerce de sangliers, paris sur les courses de chevaux, braquage de banque…) pour remplir à nouveau le chaudron de sesterces et retrouver ainsi l’honneur perdu du village gaulois.
Obamix (alias Baba), ou donc plutôt pour la circonstance oBaba, en haut de la vigie du bateau pirate Etat-Unis risque fort bien très prochainement de se retrouver plus « mergitur » (sombrant) que « fluctuat » (à flot) - à l’inverse de l’expression consacrée « Fluctuat nec mergitur », à la tête de son navire USA méga débiteur...
« Les Gau... les Gaugau…les Gaulois... » seront je l’espère cette fois imagés par des citoyens alliés à la justice démocratique et au bon sens commun (qui devraient naturellement guider nos actes), en lieu et place de la cupidité de la ploutocratie qui nous gouverne actuellement dans l’ombre de l’oligarchie au pouvoir.
En effet, à l’instar de l’empire romain qui n’eut qu’un temps limité d’emprise sur le monde, « Alea jacta est », le sort en est (donc probablement) jeté, la potion magique du crédit illimité est bientôt terminé pour le futur ex-empire américain... (et pour les autres pays par la même occasion)